Espace presse

Terra Mundi est une agence de voyages située en Ille-et-Vilaine, à Guichen.

Quelle est leur vision du voyage et la promesse offerte à leurs clients ? Proposer des voyages en Europe et à l’étranger, hors des sentiers battus tout en valorisant le slow tourism. Explorer un pays à 1000 à l’heure n’est pas dans leur ADN, Terra Mundi privilégie la qualité du séjour en prenant son temps.

« On incite alors les clients à rester plus longtemps quitte à partir moins souvent en vacances et à privilégier les transports en commun sur place » s’exprime Loic Mathieu.

L’agence vient d’être primée aux Etoiles du tourisme, un concours brétilien mettant en valeur les entreprises innovantes. Par ses engagements en matière de durabilité, Terra Mundi a remporté le prix « démarche écoresponsable ».

Pour en savoir davantage sur l’article leur étant réservé, suivez sur ce lien.

A l’occasion du Salon Mondial du Tourisme, qui se déroulait du 14 au 17 mars dernier, ATR animait une conférence, menée par Julien Buot, directeur de l’association, et Léa Bonnand, responsable des partenariats institutionnels. Le thème de cette dernière reposait sur le voyage bas carbone : pourquoi voyager ainsi et de quelle manière le faire ?

Plusieurs membres ATR étaient invités à s’exprimer lors de cette dernière afin de présenter leurs points de vue et de présenter les initiatives qu’ils ont mises en place au sein de leurs structures.

Pour en découvrir davantage sur les conférences qui ont eu lieu, veuillez cliquer sur le lien suivant.

En 2023, Leclerc Voyages, membre ATR, a atteint des sommets avec un volume d’affaires record de 746 millions d’euros, enregistrant une augmentation de 24%.

Leclerc Voyages poursuit son engagement envers le tourisme responsable, symbolisé par l’intégration du fournisseur Double Sens dans ses offres !

Porté par une ambition débordante, le réseau vise désormais à dépasser la barre des 800 millions d’euros de chiffre d’affaires en 2024. Ce plan ambitieux s’accompagne de l’ouverture prévue de 15 nouvelles agences et du recrutement de 45 conseillers voyages supplémentaires. Sous la direction de Guirec Le Morvan, directeur du réseau, Leclerc Voyages continue d’évoluer dans un paysage touristique en perpétuelle mutation.

Pour découvrir l’article en intégralité, cliquez juste ici.

Lionel Rabiet, directeur de Voyages d’Exception, s’est exprimé sur l’initiative « Vis ma vie » mise en place au sein de ses équipes !

Vis ma vie consiste à lutter contre les problèmes de ressources humaines que peut rencontrer le secteur du voyage. Occuper le poste d’accompagnateur de voyages en croisière, le métier de l’un de vos collègues, pendant quelques heures, c’est ce que vous propose Voyages d’Exception ! Cela ravit les salariés en poste.

Les objectifs et les bienfaits derrière cette initiative sont pluriels : meilleures connaissances des produits et des clientèles pour les salariés (bénéfices commerciaux) et moins de turn-over au sein de ses équipes !

Voyages d’Exception est très engagé dans sa politique RSE. Il veille à valoriser un bien-être, très apprécié, au sein de ses équipes. Ses actions sont récompensées par la labellisation ATR obtenue l’année dernière !

Pour en savoir davantage sur Vis ma vie, le recrutement chez Voyages d’Exception et le discours tenu par Lionel Rabiet sur les défis posés dans le secteur du tourisme, nous vous laissons découvrir l’article en cliquant juste ici.

Universités VS écoles privées ?

Les écoles privées gagnent en popularité ! Cela en vient à faire de l’ombre aux formations universitaires qui souffrent de moins de visibilité et moins d’attractivité aux yeux de certains étudiant(e)s.

Cette tendance soulève de nombreuses interrogations : les points de vue sur la question divergent et les leviers d’action sont peu nombreux. Un réseau national des Ecoles Universitaires du tourisme, regroupant, entre autres l’ESTHUA (Faculté de Tourisme, de Culture et d’Hospitalité) et l’IREST (Institut de Recherches et d’Etudes Supérieures du Tourisme) a vu le jour afin que ces dernières prennent de l’importance notamment dans l’enrichissement d’offres de formations proposées.

Plusieurs facteurs motivent le choix d’étudier le tourisme, une discipline qui a souvent été sous-estimée par le passé. Son intégration récente dans Parcoursup avec la mention « tourisme », anciennement répertoriée sous « sciences sociales », reflète cette évolution.

Notre responsable de communication, Gaelle Oguer, s’est exprimée sur le master qu’elle a suivi à l’IREST, le décrivant comme « très enrichissant ». Gaelle finit ses études avec « un regard critique », aiguisé grâce aux formations qu’elle a suivies.

Cet article expose les différents défis auxquels s’exposent les formations universitaires dans le contexte professionnel actuel et face à la montée en puissance des écoles privées. Sont défendues les formations universitaires avec les nombreux avantages qu’elles peuvent présenter.

Pour découvrir l’article dans son intégralité, venez le découvrir en cliquant sur le lien suivant.

Julien Buot, directeur de l’association Agir pour un Tourisme Responsable, fera parti du jury des Trophées de l’innovation pour l’édition 2024 !

Ces trophées, décernés dans dix catégories différentes, visent à récompenser les initiatives innovantes mises en place par les acteurs du tourisme et du voyage.

Vous êtes un professionnel du secteur et avez créé une start-up innovante ou mis en place un service digne de ce nom, n’hésitez plus à déposer votre candidature en ligne avant le 31 mars 2024 !

Pour en savoir davantage sur les trophées, cliquez sur le lien suivant.

Mars 2024 marque le mois d’anniversaire d’ATR : l’association fête ses 20 ans cette année !

A l’occasion, divers événements sont organisés. Les voeux ATR, le 25 janvier dernier ont ouvert le bal, depuis, les événements ne cessent de se multiplier ! Récemment plusieurs conférences ont été organisées par l’association sur divers sujets majeurs traités par ses soins : au Salon Mondial du Tourisme, au Salon des séjours linguistiques et éducatifs ainsi qu’à Terra Scientifica.

Parmi les événements majeurs à venir, nous retrouvons le séminaire annuel de l’association, du 23 au 25 septembre 2024 à Chamonix !

Pour en savoir davantage sur la présence événementielle d’ATR, venez découvrir l’article dédié.

Double Sens, Chamina et Les Maisons du Voyage, trois membres labellisés ATR ont eu l’honneur d’être présentées parmi 12 agences de voyage à sélectionner pour réaliser des séjours responsables !

Double Sens se positionne sur des séjours immersifs et un partage des retombées économiques avec la destination de séjour. Que vous soyez seul(e), en groupe, en famille ou entre amis, Double Sens se fera un plaisir de vous concevoir un séjour.

Chamina Voyages est basé sur un tourisme sportif, seul(e) ou en groupe, adapté à chaque voyageur !

Finalement, les Maisons du Voyage vous proposent des voyages sur le ton de la curiosité intellectuelle, de la découverte de paysages et des cultures locales.

N’hésitez pas à vous rapprocher de nos membres pour vos séjours !

Pour découvrir l’article dans son intégralité et en savoir davantage sur nos membres, venez découvrir l’article en cliquant ici !

Le Salon Mondial du Tourisme s’est déroulé du 14 au 17 mars dernier, Porte de Versailles, à Paris.

A l’occasion, ATR animait une conférence, réalisée par Julien Buot, directeur de l’association, et Léa Bonnand, responsable des partenariats institutionnels. Le thème de cette dernière reposait sur le voyage bas carbone : pourquoi voyager ainsi et de quelle manière le faire ?

Plusieurs membres ATR l’animaient conjointement afin de s’exprimer sur le sujet et les initiatives qu’ils ont mises en place au sein de leurs structures.

Pour en découvrir davantage sur les conférences qui ont eu lieu, veuillez cliquer sur le lien suivant.

Kappa Club, membre labellisé ATR depuis 2019, vient de fêter ses 10 ans !

A l’occasion, sont mises en lumière les actions du club en faveur d’un tourisme responsable :

• L’ambition de supprimer le plastique à usage unique au sein de ses établissements. Pour se faire, Kappa Club a investi dans des gourdes, des fontaines à eau et des verres réutilisables.
• La collaboration avec des prestataires engagés et responsables.
• La contribution carbone sur les séjours des voyageurs.
• Le développement d’un système de gestion des eaux usées.
• Les séjours sont axés sur la sensibilisation, l’éducation et l’intégration des vacanciers aux enjeux socio-économiques du pays dans lequel ils séjournent.

En janvier 2013, Kappa Club s’est positionné comme étant le 1er club de voyage immersif permettant aux vacanciers de découvrir la culture du pays et de rencontrer la population locale. Avec Kappa, les séjours sont recentrés sur la transmission et le partage tout en développant l’économie locale ! 

Pour en savoir davantage sur les actions menées par le club et la façon de sensibiliser les vacanciers, venez découvrir l’article en cliquant juste ici.

Le workshop « Partir en France » organisé par ADN tourisme avait lieu le 22 et 23 janvier derniers à Paris !

Cet événement de presse annuelle était l’occasion de réunir les Offices de Tourisme de France, Tourisme & Territoires et Destination Régions, afin d’échanger avec des journalistes et professionnels du tourisme sur le Morbihan et ses potentiels touristiques. 

Léa Bonnand, responsables des partenariats institutionnels chez ATR, et Julien Buot, directeur de l’association ATR, étaient présents pour témoigner, avec cinq autres professionnels, des nouvelles tendances dans le secteur touristique à l’occasion de ce worshop.

Pour en savoir davantage, nous vous encourageons à lire l’article en cliquant juste ici !

Le tourisme a connu plusieurs dénominations, la plus récente est « régénératif » !

L’article retrace les évolutions associées au tourisme depuis quelques décennies et fait une belle référence à l’association Agir pour un Tourisme Responsable.

Mais qu’est-ce que le tourisme « régénératif » exactement ? Il s’agit d’un type de tourisme qui se concentre sur le renouvellement des ressources environnementales, sociales et économiques. 

Cependant, quelles difficultés, quels buts et quels exemples précis peut-on citer ? Pour le savoir, viens découvrir l’article dans son intégralité en cliquant juste ici !

Nouvelle interview de Julien Buot pour l’EchoTouristique : le sociologue Bertrand Réau questionne notre rapport au temps libre, son évolution et ses valeurs.

« Le temps libre, pendant les vacances mais pas seulement, permet de créer du lien social, d’acquérir des savoir-faire, des savoir-être et des connaissances sur l’environnement. »

Un article à retrouver en intégralité en cliquant ici.

Le tourisme responsable : l’une des cinq tendances de l’année 2024 ?

A l’occasion de l’évènement Partir en France, ADN Tourisme propose un tour d’horizons des tendances de l’année à venir. Julien Buot, directeur d’ATR, et Léa Bonnand, Responsable des Partenariats Institutionnels, signent un article sur les évolutions de nos demandes et actions, en tant que voyageurs ou professionnels du tourisme, vers un voyage plus responsable.

Il est à lire en intégralité en cliquant ici.

Voyager de façon plus responsable : LA bonne résolution de cette nouvelle année 2024 ?

Libération vous donne quelques bonnes pratiques à adopter pour atteindre cette objectif ! Voyagez moins loin et plus longtemps, privilégiez les transports moins émissifs et les hébergements engagés, découvrir des activités innovantes, consommer local… autant d’actions qui changeront l’empreinte de votre voyage pour le meilleur, mais qui vous garantiront aussi un séjour exceptionnel !

Retrouvez l’intégralité de l’article, commenté par Julien Buot, directeur d’ATR, en cliquant ici.

Gaelle, notre responsable communication, était, il y a encore quelques mois, étudiante en master à l’IREST, comme son amie, Marine. Pendant leurs études, les filles ont eu l’opportunité de participer au New Explorer Challenge, un concours visant à récompenser les étudiants qui proposent un séjour immersif, innovant et original afin de promouvoir un équilibre économique, social et environnemental à destination !

« Ruze rata » est le nom du beau projet que Marine et Gaelle ont monté de toute pièce ! Elles ont passé dix-sept jours au coeur des Balkans, traversé trois pays et choisi pour thématique le tourisme d’histoire. Un voyage tant rêvé par les deux étudiantes, qu’elles ont pu mettre à contribution par leur persévérance tout au long de ce projet.

Marine et Gaelle ont désormais pour objectif de commercialiser leur voyage en parallèle de leurs emplois respectifs.

C’est également l’opportunité pour nous de vous annoncer que l’édition 2024 du NEC se fait en partenariat avec ATR !

Pour en connaître davantage sur leur expérience et leurs ambitions, nous vous invitons à lire l’article suivant.

Michael Brugeas, gérant d’Eole Loisirs, membre ATR, était sur TV5MONDE pour vous parler de 2h ailleurs, une façon de découvrir le monde sans prendre l’avion !

« Le voyage ne sera pas savourer de la même manière »

2h Ailleurs vous propose de voyager autour des 5 sens avec des expériences auditives et visuelles, gustatives et tactiles !

Envie de partir dans le Royaume de Siam ou escalader le Mont Everest ?

Alors cliquez ici pour écouter l’interview et rendez-vous sur 2hailleurs.com 

Olivier Kervella, fondateur du groupe NG Travel auquel appartient notamment Kappa Club, membre labellisé ATR, répond aux questions du Figaro !

Il revient sur le succès des Kappa Clubs et des Instants Kappa, et sur les exigences du groupe pour un tourisme responsable (suppression du plastique à usage unique, recyclage des eaux usées, restauration en circuit court etc.).

« Il est primordial de faire voyager [les voyageurs]d’une manière respectueuse et de les inciter à découvrir de nouvelles cultures. »

Le groupe se lance aujourd’hui dans l’hôtellerie avec le concept Kappa Senses ! Pour tout savoir, lisez l’article en cliquant ici.

La solidarité est une notion convoitée dans le tourisme, tant par les clients, en quête de sens lors de leurs séjours, que des professionnels, désireux d’ajouter un avantage concurrentiel à leur structure et soucieux de leur impact environnemental.

Le tourisme dit « solidaire » peut avoir de multiples interprétations. Plusieurs directeurs de structures touristiques apportent leurs visions sur le sujet. Retrouvez les propos tenus, notamment par, Antoine Richard, Président de l’association, lui-même co-créateur d’une agence de voyage solidaire, et Julien Buot, Directeur de l’association !

Sur quels critères évaluer le voyage solidaire ? Pour le savoir, cliquez ici !

Après quatre années d’engagement en tant que membre ATR, Voyages d’Exception franchit le pas vers la labellisation ATR !

Lionel Rabiet s’est exprimé sur sa vision de la durabilité, ses engagements dans le secteur et son parcours de labellisation.

C’est un pari réussi pour Lionel Rabiet et son équipe, notamment Valérie Grégori référente ATR : Voyages d’Exception devient le premier opérateur de croisière labellisé !

Pour en savoir davantage, cliquez ici.

Julien Buot, directeur de l’association ATR, aborde plusieurs sujets dans cette tribune, notamment l’afflux massif de visiteurs en France, la gestion de ces derniers et les problèmes d’accès au tourisme.

Il mentionne également les conséquences de la médiatisation du phénomène de surtourisme, qui a un impact sur le système touristique et le comportement des visiteurs. 

Enfin, il propose des solutions, pour les professionnels et les touristes, dans le but de promouvoir un tourisme durable.

Pour en savoir plus, cliquez ici !

Le Club Med poursuit ses engagements vers la durabilité ! Le Village Club Med de Tignes, construit en 2022, vient d’être certifié pour son engagement en matière de durabilité et de responsabilité environnementale. C’est une étape importante pour le Club Med, qui souhaite poursuivre cette dynamique dans la construction de ses prochains villages.

De nouvelles initiatives environnementales sont également annoncées pour 2024 avec une préservation des milieux naturels et une meilleure gestion du plastique.

Pour tout savoir, cliquez ici !

Kappa Club fête les 10 ans de ses clubs ‘autrement’, des clubs dédiés à la découverte, à une nouvelle façon de voyager avec un impact positif sur l’environnement local !

Activités découverte des coutumes locales, rencontres avec les habitants, soutien à des initiatives écologiques et solidaires, sensibilisation des plus jeunes… partir en vacances avec Kappa Club c’est aussi contribuer à un tourisme plus respectueux de notre planète et de ses habitants !

Elimination du plastique à usage unique, recyclage des eaux usagées, création de son propre fond de dotation… Kappa Club c’est aussi de nombreuses bonnes pratiques en interne. Pour en savoir plus sur celles-ci, cliquez ici.

Nouvel épisode de L’Eco des loisirs sur France Bleu !

Celui-ci se pose la question du choix de la grande distribution ou des agences de voyages pour ses vacances. Julien Buot, directeur d’ATR, vous explique les avantages de chacun !

C’est à écouter en cliquant ici.

Julien Buot, directeur d’ATR, et Delphine Camara, directrice adjointe d’Arts et Vie (membre ATR), répondent aux questions de Christophe Jicquel sur Sud Radio pour l’émission Un monde à Découvrir.

Anecdotes de voyage, voyage culturel et responsable, enjeux carbones… vous saurez tout en cliquant ici.

Qu’en est-il de la position des syndicats sur le sujet du développement durable ? Cette question a été mise à l’honneur lors d’une conférence dans le cadre du Salon IFTM Top Resa, fin septembre 2023.

La responsabilité des entreprises et le numérique sont des préoccupations majeures dans le secteur du tourisme.

Valérie Boned, Présidente des Entreprises Du Voyage, et Hervé Tillemont, représentant du Syndicat des Entreprises du Tour-Opérating, se sont exprimés aux côtés de Julien Buot sur le sujet, en dévoilant les moyens humains et financiers qu’ils déploient. La mise en place d’un outil de calcul d’émission carbone, des aides financières et des programmes de certification seront réservés aux entreprises souhaitant s’engager dans la transition écologique.

Pour en savoir plus sur les actions mises en place, cliquez ici !

Gaëlle Oguer, Responsable Communication chez ATR, faisait partie du jury des Awards de la Communication Digitale lors des Rencontres Nationales du e-tourisme à Pau ce jeudi 12 octobre.

Est nommé prix du jury : Attitude Manche ! Quant au prix du public, il est décerné aux Arcs Bourg Saint Maurice Tourisme !

Félicitations à eux ! Pour tout savoir sur leurs campagnes, cliquez ici.

Après 5 mois de rénovation, le Paradis BeachComber à l’Ile Maurice rouvrira ses portes dans 5 jours, le 15 octobre !

Le groupe a obtenu cette année la prestigieuse certification EarthCheck Gold, attestant de sa démarche en matière environnementale et sociétale.

Pour en savoir plus, cliquez-ici.

Nouveauté chez Ponant ! Le croisiériste souhaite développer ses activités de tour-operating, comprenez les offres pré et post séjour sur les navires.

Pour en savoir plus, cliquez-ici.

Un article très complet et passionnant écrit par Caroline Le Roy !

A l’heure où l’empreinte carbone des français reste bien loin des montants fixés par les Accords de Paris, et alors que le transport pèse considérablement dans celle-ci, la question des quotas pour les voyages en avion se pose. Si Jancovici a fait grand bruit en proposant de façon provocatrice de se limiter à 4 vols par vie, d’autres initiatives proches planchent sur le sujet !

Définitions des grands concepts, chiffres, ressources… on vous recommande fortement de lire cet article en cliquant ici.

Anne-Sophie Snyers, CEO de BTC, membre ATR, était en plateau du petit théâtre de Vrebos sur LN24 (première chaine d’informations en Belgique) pour discuter de la proposition du parti belge Groen de taxer l’aviation.

Quels sont les freins au développement du train en Europe ? Quelles sont les solutions applicables au secteur de l’aviation ? Comment faire changer les habitudes ?

C’est à écouter en cliquant ici.

TUI enregistre une bonne progressions sur la saison estivale ! Une belle dynamique qui devrait se prolonger sur l’année 2024 avec un catalogue de nouvelles offres.

L’enjeu du moment pour le groupe ? Contenir la flambée des prix !

Pour savoir comment, cliquez ici.

Le thème du salon IFTM Top Résa à Paris cette année ? Défis et Résilience ! Un thème qui plaçait ainsi les enjeux environnementaux au cœur des échanges, avec notamment un beau discours inaugural de François Gemmène, co-auteur du 6e rapport du GIEC.

Cette édition faisait donc la part belle au tourisme responsable, avec un espace dédié qui a vu se succéder de nombreuses conférences, très suivies, et qui ont suscité les débats.

« Depuis dix ans, il est vrai que le gros sujet reste celui de l’évaluation des émissions de CO2 et que celle-ci est plus fine » explique Julien Buot au Monde.

Pour lire l’article, cliquez-ici.

Julien Buot, directeur de l’association ATR, répond aux questions Sacha Carion et Roxane Merlot pour le magazine Géo !

Vous avez peut-être vu passé la vidéo sur l’Instagram d’ATR ? Découvrez l’article complet en cliquant ici.

« Il s’agit de mieux comprendre le pays qui nous accueille et de préparer les expériences uniques que l’on a envie de vivre. »

La Revue Espaces vous propose une version actualisée de ces 80 portraits originaux de leurs contributeurs ! Parmi eux, Julien Buot, directeur d’ATR.

Et c’est offert jusqu’à fin 2023. Alors, cliquez-ici pour les découvrir.

L’EchoTouristique vous propose un retour sur trois jours de séminaire ATR  ! Entre ateliers de travail collaboratifs et moments de convivialité, les quelques 80 personnes réunies pour l’occasion, membres mais aussi partenaires et acteurs locaux, ont encore une fois pu démontrer toute la force du collectif !

Mesure et contribution carbone, impact social et économique à destination, accessibilité et tourisme pour tous, nouveaux outils d’accompagnement et de sensibilisation… trois jours bien rempli en Baie de Somme !

Pour tout savoir, cliquez ici.

A l’occasion du séminaire annuel de l’association ATR, l’ensemble des membres étaient réunis pour divers ateliers de travail autour de problématiques du tourisme responsable, dont le carbone.

Sur cette thématique, nous avons eu la présentation d’un ambitieux plan de décarbonation par Vie Sauvage, membre ATR depuis 2019 et fraichement labellisé ! Objectif ? Réduire l’empreinte carbone de ses voyages de 5% par an !

Pour savoir comment, lisez cet article de l’Echo Touristique !

Lors de notre séminaire en Baie de Somme, notre président Antoine Richard et notre directeur Julien BUOT était interviewé par France 3 Picardie pour le ICI 19/20 !

On y parle de surfréquentation et de son lien avec le tourisme durable : « L’enjeu c’est la diffusion dans le temps et l’espace ».

Antoine Richard y souligne aussi l’importance de la sensibilisation comme un moyen d’améliorer les comportements des voyageurs : « L’objectif c’est de sensibiliser les voyageurs pour maximiser les impacts positifs minimiser les impacts négatifs comme la surfréquentation. […] Il s’agit donc de mieux réguler les flux et de valoriser d’autres choses comme les festivals culturels. » . Cette sensibilisation passe notamment par la diffusion de la charte éthique du voyageur.

L’intégralité de l’intervention est à retrouver en cliquant ici.

Fortement impacté par la pandémie de Covid-19, Quimbaya Latin America, nouveau membre ATR, reprend des forces !

En tête des destinations les plus demandées par les voyageurs ? Le Costa Rica ! Mais aussi le Mexique ou encore l’Argentine.

Le tourisme durable et solidaire c’est une évidence pour Quimbaya qui a toujours eu a cœur de respecter les destinations et ses habitants dans son activité !

Pour en savoir plus, lisez l’interview de Claudia Terrade, PDG de l’entreprise, en cliquant ici.

Isabelle Lepeu, fondatrice et présidente de My family-time, membre ATR depuis 2022, signe un article passionnant dans la revue ESPACES tourisme & loisirs dans un dossier dédié au marché des familles !

My family-time c’est une « volonté de créer des voyages uniques, pour permettre aux familles de se retrouver le temps des vacances » qui « s’évertue donc à créer des voyages personnalisés, qualitatifs et des expériences exclusives, qui soient éco-responsables, respectueuses de la planète et des populations locales, tout en favorisant le développement économique des territoires. »

Pour lire l’article, cliquez ici !

Et pour en savoir plus sur My Family-time cliquez là !

Vous connaissiez la Fresque du Climat ? Vous allez bientôt pouvoir découvrir la Fresque du Tourisme ! Parmi ces concepteurs, plusieurs personnalités du secteur touristique, dont Julien Buot, directeur d’ATR.

Dévoilée en avant-première en marge des Universités du Tourisme Durable à Aix les Bains fin septembre, cette fresque, basée sur des cartes représentant la chaine des valeurs et des défis du tourisme, devrait être lancée officiellement début 2024 !

En attendant, lisez l’article complet en cliquant ici.

Fairmoov poursuit son développement en faisant l’acquisition de deux nouveaux acteurs engagés pour un tourisme plus responsable : Double Sens et Betterfly Tourism.

Antoine Richard, CEO de Double Sens et Président d’ATR, reste aux manettes du voyagiste spécialisé dans l’immersion et l’impact social à destination. Derrière cette décision, la volonté de se donner les moyens de se développer plus vite et de démultiplier l’impact positif.

Pour en savoir plus, cliquez-ici.

Fairmoov poursuit son développement en faisant l’acquisition de deux nouveaux acteurs engagés pour un tourisme plus responsable : Double Sens et Betterfly Tourism.

Antoine Richard, CEO de Double Sens et Président d’ATR, reste aux manettes du voyagiste spécialisé dans l’immersion et l’impact social à destination. Derrière cette décision, la volonté de se donner les moyens de se développer plus vite et de démultiplier l’impact positif.

Pour en savoir plus, cliquez ici.

Le ‘surtourisme’ est sans doute l’un des sujets les plus discutés dans les médias cet été. Alors que certains sites touristiques semblent assaillis, il s’agit de pousser l’analyse plus loin, de comprendre l’étalement de ces flux pour mieux les gérer. Car oui, des solutions existent !

« Le retentissement médiatique du surtourisme est salutaire car il invite à questionner la qualité et la gestion de cette croissance touristique »

Un article à lire dans la dernière revue de l’EchoTouristique (page 48-50) et bientôt diffusé en ligne !

Arts et Vie vous présente sa production 2024 avec quelques nouveautés « hors des sentiers battus ».

C’est à découvrir sur le Quotidien du Tourisme en cliquant ici.

Après presque 10 ans passé à la tête de TravelPro Formations, Sylvie Da Silva s’envole pour de nouvelles aventures ! Toute l’équipe ATR la remercie pour son travail au sein de l’association, que ce soit pour les formations aux membres, le suivi du conseil d’administration ou encore la participation au projet ATRE.

Pour lire l’article, cliquez-ici.

Participant au projet européen Sustour, Arts et Vie a été accompagné dans sa démarche de labellisation Travelife et décroche ainsi le statut Travelife Partner ! Félicitations !

Prochaine étape pour le voyagiste ? Le label ATR !

Pour en savoir plus, cliquez-ici.

L’empreinte carbone de nos vacances, tel était le thème de l’entretien de la matinale du 6-9 sur France Inter le samedi 5 août.

Julien Buot, Directeur d’ATR, est intervenu aux côtés de Rémy Knafou, Professeur de géographe du tourisme à l’Université Paris 1 Panthéon Sorbonne.

En plein cœur de l’été, nous nous interrogeons sur l’impact carbone de nos vacances. Est-il véritablement mesurable ? Est-il concrètement mesuré ? Les Françaises et les Français ont-ils changé de comportements avec la prise de conscience de l’urgence écologique ?

Pour répondre à ces questions, nous recevons ce matin, le géographe Rémy Knafou et l’un des acteurs incontournables des sujets de tourismes durables et équitables, Julien Buot, directeur d’ATR.

Une émission à « podcaster » sur franceinter.fr 

Pour cela, Julien Buot, directeur de l’association Agir pour un tourisme responsable (ATR), recommande « de s’informer sur les habitants, leur mode de vie, le patrimoine, l’environnement… »Des « fiches destinations qui déclinent les enjeux du tourisme responsable pour différents pays sont par exemple disponibles sur le site de l’association », indique-t-il. « Il ne faut pas hésiter non plus à se renseigner sur les différents guides de voyages qui sont spécialisés dans l’écotourisme », précise Julien Buot.

Un article à retrouver sur huffingtonpost.fr

Avec ATRE, ATR et ses partenaires souhaitent favoriser des solutions alternatives à l’aérien.

Car c’est là que se joue le poids de l’empreinte carbone du tourisme. C’est d’ailleurs un constat partagé par la clientèle, qui se dit de plus en plus prête à changer ses habitudes en la matière.

Le tourisme a les clés en main pour être non pas un outil de destruction mais de construction. C’est du moins le sens du message d’ATR.

Puisque l’objectif du programme Erasmus + ATRE est de « diffuser les connaissances sur l’urgence climatique et son rapport au tourisme, de fournir des outils ludiques pour prendre la mesure de l’empreinte carbone des voyage et partager des bonnes pratiques pour réduire les émissions de CO2 du tourisme», celui-ci propose plusieurs pistes aux acteurs du tourisme pour que le secteur prenne sa mission à bras le corps

Un article à retrouver sur tourmag.com

Alors que la Grèce est en proie à des feux historiques, les partenaires du projet ATRE alertent sur la situation climatique avec un communiqué de presse estival.

Ce projet, co-financé par la commission européenne, vise à maitriser les impacts du tourisme sur le changement climatique, au-travers de trois outils de sensibilisation, qui seront disponibles en 6 langues début 2024. Au menu : comprendre la situation climatique et ses liens au tourisme, mesurer son empreinte carbone, la réduire, contribuer et s’adapter.

Pour en savoir plus, cliquez ici.

Alors que les incendies ravagent les îles de Rhodes et Corfou en Grèce et que partout le réchauffement climatique fragilise les écosystèmes et les organismes, l’émission ‘C dans l’air’ sur France 5 pose le débat et s’interroge sur l’avenir du tourisme. Guillaume Linton, PDG d’Asia, membre ATR, y répond.

C’est à écouter en cliquant ici.

Interface Tourism, membre ATR, décroche le label Agences Actives, au plus haut niveau, le niveau expert !

Bilan carbone, politique d’intéressement pour les salariés, formations, partenariat avec l’association Vacances et Familles… la liste des bonnes pratiques mises en place est longue !

Prochaine étape : le label B-Corp !

Pour en savoir plus sur les actions menées par Interface Tourism, cliquez-ici.

Direction la Baie de Somme pour le séminaire ATR 2023 qui aura lieu fin septembre !

Entre moments de convivialité et ateliers de réflexion collective, le programme s’annonce haut en couleur, avec la participation des membres ATR mais aussi cette année des réceptifs de Togezer, d’étudiant(e)s de l’IREST ou encore d’acteurs locaux.

Pour en savoir plus, cliquez-ici.

Le 17e des 17 Objectifs de Développement Durable (ODD) des Nations Unies invite à agir collectivement dans le cadre de partenariats efficaces entre les gouvernements, le secteur privé et la société civile.

Parce que tout seul on va plus vite mais ensemble on va plus loin, c’est dans le collectif que doit phosphorer le tourisme responsable.

C’était le thème de la JMTR23, et c’est aussi le thème de la nouvelle chronique de Julien Buot dans l’EchoTouristique à lire ici.

La 10e édition des Trophées de l’Innovation du Tourisme, organisée par Eventiz Media Group, s’est tenue ce mercredi 5 juillet, avec un discours d’introduction prononcé par Olivia Grégoire, ministre déléguée en charge du tourisme.

Parmi l’ensemble des finalistes et lauréats, deux membres ATR sont à noter ! Il s’agit de Décathlon Travel, finaliste de la catégorie ‘Tourisme Responsable’ et de l’UCPA, lauréate de la catégorie ‘Production’ ! Félicitations !

Pour découvrir l’ensemble des lauréats, cliquez ici.

Antoine Richard, fondateur et CEO de Double Sens, mais aussi président d’ATR, répond aux questions de TourMag concernant les évolutions du marché de l’emploi dans le tourisme !

« L’impact a beaucoup de sens pour les jeunes. Ils l’expriment très clairement. »

L’engagement comme facteur clé d’embauche, nouvelle organisation du travail et évolution du rôle de manager… c’est à lire en cliquant ici.

Delphine Camara, directrice adjointe d’Arts et Vie, répond aux questions de TourMaG concernant les initiatives prises pour un tourisme plus responsable !

« Nous prônons une vision du voyage basée sur des valeurs d’ouverture, d’échange, de respect et de partage des savoirs »

Projet de labellisation ATR et Travelife, bilan carbone, projets de contribution carbone… c’est à lire en cliquant ici.

Face à l’impact du tourisme sur nos écosystèmes, « À nous de faire notre part en choisissant des destinations, des équipements, des transports et des activités “allégés”, et en respectant, notamment, la Charte éthique du voyageur. », explique Julien Buot, directeur d’ATR.

Bonnes pratiques de transports, choix de destination, restauration, et même lorsque vous faites votre valise, Notre Temps vous dresse une liste pour passer des vacances plus responsables. On y parle aussi du label ATR.

Pour tout savoir, c’est par ici.

Les Maisons du Voyage (membre labellisé ATR) lance leur nouvelle marque : Amatera ! Cette agence de voyage en ligne propose des voyages sur mesure et des circuits en petits groupes orientés nature et slow travel.

Amatera est controlée par Ecocert Envionnement et labellisée Agir pour un Tourisme Responsable dans le cadre de l’engagement et les audits réalisés par Les Maisons du Voyage depuis 2020.

Pour en savoir plus, cliquez ici.

Turquoise TO, membre ATR, recherche des agences ambassadrices pour sa marque dédiée à l’offre de tourisme durable ‘No Shoes No News’ !

Pour en connaitre les conditions, cliquez ici.

Les Maisons du Voyage (membre labellisé ATR) lance leur nouvelle marque : Amatera ! Cette agence de voyage en ligne propose des voyages sur mesure et des circuits en petits groupes orientés nature et slow travel.

Amatera est controlée par Ecocert Envionnement et labellisée Agir pour un Tourisme Responsable dans le cadre de l’engagement et les audits réalisés par Les Maisons du Voyage depuis 2020.

Pour en savoir plus, cliquez ici.

Julien Buot, directeur de l’association ATR, interviewe pour l’EchoTouristique Caroline Le Roy, chercheuse et experte des politiques publiques du tourisme.

« L’objectif de ma thèse est de créer de nouveaux indicateurs de résilience touristique pour les territoires. »

Mesurer et tenir compte des impacts du tourisme, place des femmes dans le tourisme, acteurs(rices) inspirant(e)s… De riches propos à lire en intégralité en cliquant ici.

Une sélection de livres, sites ou encore applications pour vous informer – et vous inspirer – pour faire de vos prochaines vacances des vacances écoresponsables, c’est ce que vous propose Essentiel Santé Magazine !

Dans cette belle sélection de ressources, on retrouve bien sur les conseils d’ATR et sa Charte Ethique du Voyageur !

C’est à lire en cliquant ici.

Les associations d’agences de voyages francophones UPAV et néerlandophones VVR ont récemment organisé pour la première fois conjointement leur congrès, à Coimbra (Portugal). Le secteur s’unifie sous la bannière de la Belgian Travel Confederation (BTC), membre ATR (et partenaire du projet ATR-E Low Carbon Travel), lancée officiellement il y a un peu plus d’un an.

Pour tout savoir, cliquez ici.

Eric Baetens, fondateur d’Eric&TheTrip, répond aux questions de Romain Pommier pour TourMag !

« Sensibiliser les voyageurs sur l’impact de leurs actions sur la planète est primordial (…) Sur les sujets du tourisme responsable et de décarbonation, nous ne pouvons pas nous permettre d’être rétrogrades. Si nous sommes à la traine là-dessus, alors nous sommes exposés à une désaffection importante du secteur par les voyageurs. »

Toute l’interview est à lire en cliquant ici.

L’activité touristique reprend pour la majorité de l’Asie malgré une forte inflation, des prix de l’aérien notamment, encore impactés par les suites de la crise covid. Selon Guillaume Linton, président d’Asia (membre ATR), les prix devraient durablement rester 20 à 30% plus élevés que l’avant crise, ce qui ne représente pas que du négatif : « La clientèle sera plus avertie et moins nombreuse, mais voyagera dans de meilleures conditions. »

Une interview à lire en intégralité en cliquant ici.

Dans une grande enquête en 3 parties, l’Echo Touristique décrypte 20 initiatives intéressantes en termes de RSE ! La troisième partie met en avant cinq labellisations, dont le label ATR !

On vous laisse découvrir tout ça en cliquant ici.

Kappa Club, TO labellisé ATR depuis 2019, a remporté le César du Tourisme Responsable décerné par les professionnels dans la catégorie ‘Voyagiste’ avec son programme Green Challenge !

Pour tout savoir sur cette belle initiative, c’est par ici.

18 lauréats, répartis dans 7 catégories, ont été récompensés aux Césars du Voyage Responsable lors d’une cérémonie à Marseille.

Parmi eux, on retrouve Kappa Club, lauréat du prix des pros dans la catégorie ‘Voyagiste’, et Ponant, prix des pros également dans la catégorie ‘Maritime’. Félicitations à ces deux membres ATR !

Pour tout savoir sur le reste des lauréats, cliquez ici.

TourMag fait le point sur le projet européen ATR-E Low Carbon Travel dont ATR est le chef de file !

Alors que nous arrivons au milieu du projet, ATR et ses partenaires se sont réuni.e.s pour un séminaire riche en échanges, couronné par une conférence sur le salon mondial du tourisme.

En attendant la diffusion officielle des trois outils pédagogiques du projet début 2024, cliquez ici pour en savoir plus.

Var Matin dédie son dossier du dimanche aux évolutions du tourisme ! Entre nouvelles tendances touristiques et prise en compte nécessaire du changement climatique, comment évoluent les offres et la demande touristique sur notre territoire ?

« Il y aura toujours des impacts négatifs, il faut les évaluer et essayer de les améliorer. Le tourisme parfait n’existe pas. Certains disent même que ‘‘tourisme durable’’ est un oxymore. Pour que le tourisme dure, il faut tenir compte de ses impacts, des actes des professionnels comme des touristes. » explique Julien Buot, directeur d’ATR.

Pour lire l’intégralité de l’article, c’est par ici.

Les candidatures pour les Trophées de l’innovation 2023 ferment le 3 avril.

Le jury se réunira dans 6 semaines pour choisir 3 initiatives inspirantes dans chacune des 8 catégories en lice. Parmi les membre du jury, Julien Buot, directeur de l’association ATR.

Plus d’informations sur le processus de sélection des lauréats en cliquant ici.

« Rester dans les métiers du tourisme a autant de sens que de le quitter ! Parce qu’il y a tout à repenser et réinventer ! Rester oblige à s’engager dans cette transition ! »

Se former, transformer nos organisations, être transparent, réduire etc. Autant d’actions à engager que vous retrouverez dans la tribune de Jean-Christophe Guérin (Vie Sauvage / FIKA) en cliquant ici.

VEFE Voyages Educatifs, membre ATR, organise la deuxième édition de son grand concours Développement Durable à destination des groupes scolaires, un moyen ludique d’impliquer et sensibiliser les plus jeunes.

Pour découvrir les activités proposées aux enfants, cliquez ici.

« En résumé, ATR 2030, c’est plus d’ouverture, plus d’engagements, et des contenus. »

Le 2 février, l’association réunie en Assemblée Générale Extraordinaire a voté le projet ATR 2030 à l’unanimité : ouverture, charte d’engagements opérationnelle, commissions obligatoires etc.

Pour tout savoir, c’est par ici.

En cette journée internationale de lutte pour les droits des femmes, TourMag revient sur l’intégration dans les statuts de l’association de l’objectif de parité, avec un seuil minimal obligatoire à 40% pour le conseil d’administration.

Un vent de fraicheur souffle sur ATR… c’est à découvrir en cliquant ici.

Mesurer, Réduire, Contribuer, un triptyque gagnant… si on applique une stratégie bien pensée et adéquate !

Dans cette chronique, Julien Buot, explique l’importance d’agir certes, mais surtout comment le faire de manière efficace.

Un article à lire en intégralité en cliquant ici.

Voyages d’Exception, membre ATR en cours de labellisation, entend tourner la page du Covid dès ce mois de mars et s’atteler ainsi à de nombreux chantiers, tels que le développement du B2B.

Une interview de Lionel Rabiet, directeur, à retrouver en cliquant ici.

Le salon du tourisme scientifique et durable ouvre les portes de sa deuxième édition du 24 au 26 mars 2023 à la Cité des Sciences et de l’Industrie de Paris. ATR y sera présent parmi les exposant !

Pour en savoir plus, cliquez ici.

Sylvie DA SILVA, directrice de TravelPro Formations (membre ATR) et Julien Buot, d’ATR, étaient sur le plateau de Chroniques d’Experts pour parler formations et évolutions du secteur touristique.

« La crise du covid-19, malgré son impact sur l’activité touristique, a été une opportunité pour les entreprises de lever la tête du guidon et se réinventer, pour approfondir leurs compétences dans différents domaines mais aussi et surtout sur les enjeux durables »

Aux côtés d’ATR, TravelPro proposent depuis 2017 un pôle complet de formations dédiées au développement durable afin de faciliter l’engagement des professionnels du voyage, mais aussi celui de leurs clients en répercussion.

Formations, Projet européen Low Carbon Travel, Label et Charte Ethique du Voyageur… pour tout savoir, cliquez ici.

La crise du covid-19 a largement impacté les relations au travail, d’autant plus dans le secteur du tourisme, qui souffre aujourd’hui d’un manque d’attractivité.

« Les enjeux tels que la qualité de vie au travail, la certitude de se rendre utile, la bonne rémunération, la fin du travail à la chaîne et la possibilité de recourir au télétravail doivent être pris au sérieux » nous explique notamment Julien Buot, directeur d’ATR, Sylvie Da Silva, directrice de TravelPro Formations (membre ATR) et Thomas Loubert, cofondateur de Togezer (membre ATR).

Les formations professionnelles s’adaptent à ces nouveaux enjeux, permettant de développer de nouvelles techniques de management, des méthodes agiles de travail et d’organisation.

> Pour tout savoir, l’intégralité de l’article de la Revue Espaces est à retrouver en cliquant ici.

Pour débuter le workshop « Partir en France » sous les meilleurs auspices, ADN Tourisme a mis à l’honneur les tendances touristiques en France pour 2024 !

Ainsi, cinq professionnels ont eu l’opportunité d’échanger leurs points de vue sur les thématiques du tourisme responsable, du tourisme de proximité, du comportement des jeunes, de l’intelligence artificielle et de l’impact des grands événements sportifs.

Léa Bonnand, responsable des partenariats institutionnels au sein de l’association Agir pour un Tourisme Responsable, a représenté l’expert « tourisme responsable » lors de la conférence ! Cette dernière a mis en avant l’envie d’un français sur dix de voyager plus responsable, bien qu’il y ait une méconnaissance des mesures prises par les opérateurs du tourisme.

Pour lire l’article en intégralité et en connaître davantage sur leurs échanges, cliquez juste ici !

L’association Acteurs du Tourisme Durable (ATD), partenaire ATR, reconduit les Trophées Horizons pour une deuxième édition. L’objectif ? Mettre en lumière les initiatives les plus inspirantes en terme de tourisme responsable.

Vous avez jusqu’au 15 mars pour candidater dans l’une des 11 catégories en lice. La remise aura lieu le 1e juin à Paris.

Pour en savoir plus, cliquez ici.

Kappa Club, membre ATR, est candidat aux Césars du Voyage Responsable, avec son action du ‘Green Challenge’. Celle-ci vise à impliquer les jeunes voyageurs dans des activités culturelles, écologiques, pédagogiques ou encore associatives, ayant un impact positif dans la destination. Les bonnes actions réalisées leur font récolter des Kap’Pépites, qui sont ensuite utilisées sous forme de dons à des associations et ONG locales.

Pour en savoir plus, cliquez ici.

Decathlon Travel, membre ATR depuis septembre 2022, veut participer à l’amélioration de l’industrie touristique via le partage de bonnes pratiques et une démarche d’amélioration continue.

Audit des activités proposées par le partenaire potentiel, partenariat avec Double Sens et ActivHandi, création de leur propre calculette carbone, contribution à des projets de solidarité climatique… autant d’actions réalisées par la jeune entreprise à mission, à découvrir en cliquant ici.

TUI, membre ATR, lance le TUI Colourful Cultures, un programme de soutien aux artisans leur assurant une source de revenus et une promotion de leur héritage culturel grâce au tourisme.

Ce programme débute avec deux projets au Kenya (avec l’Association for the Physically Disabled of Kenya) et en Turquie (avec la Fethiye Lycia Women’s Cooperative).

Pour en savoir plus sur cette initiative, cliquez ici.

Afin d’accélérer la transformation durable de l’offre touristique en France dans le cadre du Plan Destination France, Atout France a lancé deux appels à manifestations d’intérêt. 41 projets ont été retenus au total sur 83 candidatures reçues. Les lauréats bénéficieront d’un appui en ingénierie et en co-financement d’études afin d’accélérer la concrétisation de leur projet.

ATR a répondu à l’AMI ‘Transformation durable de l’économie touristique’ avec un projet visant à structurer et développer les offres de voyages bas carbone en France. Il a été sélectionné par Atout France, on vous en dit plus bientôt !

Pour en savoir plus, c’est par ici.

Afin d’accélérer la transformation durable de l’offre touristique en France dans le cadre du Plan Destination France, Atout France a lancé deux appels à manifestations d’intérêt. 41 projets ont été retenus au total sur 83 candidatures reçues.

ATR a répondu à l’AMI ‘Transformation durable de l’économie touristique’ avec un projet visant à structurer et développer les offres de voyages bas carbone en France. Il a été sélectionné par Atout France, on vous en dit plus bientôt !

Pour connaitre l’ensemble des lauréats des deux AMI, c’est par ici.

Eric & The Trip, membre ATR, est candidat aux Césars du Voyage Responsable, une cérémonie visant à récompenser les meilleures initiatives durables et responsables qui aura lieu en mars 2023 !

« Eric & The Trip s’engage à être une agence de voyages transparente, ouverte d’esprit, en constante amélioration de ses pratiques et à sensibiliser ses voyageurs et ses partenaires aux enjeux environnementaux et sociaux du mieux qu’elle le peut »

Plus d’informations sur cette candidature en cliquant ici.

L’Asie étant son cœur de métier, Asia a été fortement touchée par la pandémie de covid-19. Mais le tour-opérateur ne se laisse pas abattre et entend bien faire de 2023 l’année de la reconquête des voyageurs ! Et les thématiques durables ne sont pas mises en pause, au contraire ! L’entreprise veut être plus active sur son impact carbone et compenser, sur sa marge, 100% des émissions carbones de ses circuits Tentations.

Une interview avec Guillaume Lindon, PDG d’Asia, à lire en intégralité sur TourMag.

A l’occasion de la Convention des Entreprises du Voyage Centre Ouest à Marrakech, une des questions posées était de savoir comment rendre attractif son entreprise tout en répondant aux enjeux climatiques. Pour y répondre, Marie-Laure Tarragano a proposé une intervention sur la RSE : comment s’y prendre, par où commencer, combien ça coûte…  Une des recommandations était de se rapprocher du label ATR.

Retrouvez plus d’informations sur cette intervention en cliquant ici.

Voyage Sauvage, membre ATR, est candidat aux Césars du Voyage Responsable, une cérémonie visant à récompenser les meilleures initiatives durables et responsables qui aura lieu en mars 2023 !

Voyages Sauvage propose une offre de voyages animaliers fondée sur le bien-être animal et une sensibilisation engagée auprès des clients.

> Plus d’informations sur cette candidature en cliquant ici.

En juin dernier, Nomade Aventure, membre labellisé ATR, a remporté un trophée horizon dans la catégorie ‘Mobilités’ pour ses voyages AR en train en Europe !

Découvrez le reportage réalisé sur cette initiative par le réseau des Acteurs du Tourisme Durable en cliquant ici.

Decathlon Travel, nouveau membre ATR, est candidat aux Césars du Voyage Responsable, une cérémonie visant à récompenser les meilleures initiatives durables et responsables qui aura lieu en mars 2023 !

Decathlon Travel est une société à mission qui souhaite rendre le sport accessible au plus grand nombre en proposant des séjours sportifs durables !

> Plus d’informations sur les engagements de Decathlon Travel en cliquant ici.

Pour le webzine Ricochets, propulsé par notre membre associé Togezer, Julien Buot, directeur d’ATR, revient sur une petite histoire du tourisme responsable: ses acteurs, ses moments clés, son évolution.

Des assises nationales du tourisme en 2001 à aujourd’hui, il y en a eu des grandes dates pour le tourisme responsable en France !

Retrouvez les toutes en cliquant ici !

Koob de FeelinGo, nouveau membre ATR, est candidat aux Césars du Voyage Responsable, une cérémonie visant à récompenser les meilleures initiatives durables et responsables qui aura lieu en mars 2023 !

Certifié B-Corp, Koob est une une plateforme qui digitalise l’activité des réceptifs, les connectent de manière instantanée à leurs clients tours-opérateurs et agences.

> Plus d’informations sur les engagements de Koob en cliquant ici.

Du 15 au 19 octobre s’est déroulée au Québec la Convention des Entreprises du Voyage Ile-de-France, sur le thème de l’attractivité des métiers du voyage. Ce thème a permis d’aborder les différents défis auxquels fait face le secteur aujourd’hui, dont celui majeur d’un tourisme plus responsable ! ATR était présent pour prendre place aux débats.

« Il est temps que notre profession passe à l’offensive au lieu d’être sur la défensive. Je pense qu’il faut qu’on sorte de l’ère du greenwashing, certes, mais aussi de l’éco-chuchotement. Quand on a des choses à dire sur le tourisme responsable qui sont réelles et qui sont chiffrées, il faut les dire. A nos clients, à nos fournisseurs, à nos médias. Il faut en être fier, même si nous sommes lucides sur le fait que le chemin reste encore long à parcourir pour prétendre être plus responsable. » a expliqué Julien Buot, directeur d’ATR.

« La compensation est un concept sulfureux parce qu’il a été galvaudé par des gens qui le faisaient mal. On peut aussi faire de la belle compensation. L’essentiel c’est de commencer. Quand les entreprises se lancent dans des démarches responsables, jamais elles ne reviennent en arrière. Nous sommes là pour vous accompagner ».

Retrouvez l’intégralité du résumé de la convention en cliquant ici.

La convention des Entreprises du Voyage Ile-de-France se tient actuellement au Québec autour d’un thème : l’attractivité des métiers du voyage. La transition écologique de secteur touristique apparait alors comme un sujet incontournable, qui structurera pour sur l’avenir de nos métiers.

« L’agent de voyages de demain, c’est celui qui va permettre au tourisme de faire sa transition ». 

Lionel Rabiet (Voyages d’exception, membre ATR), président des EDV IDF, répond aux questions de l’Echo Touristique. Une interview à découvrir en intégralité ici.

Les Universités du Tourisme Durable du réseau ATD se sont tenues les 6 et 7 octobre 2022 à Montpellier. Cette année, le thème tournait autour des paradoxes du tourisme durable.

Parmi les intervenants de la première table-ronde, Jean-Christophe Guerrin, fondateur d’Ahimsa Voyages, membre ATR.

Retrouvez cette conférence en intégralité en cliquant ici.

Les Universités du Tourisme Durable se sont tenues les 6 et 7 octobre 2022 à Montpellier. Cette année, le thème tournait autour des paradoxes du tourisme durable.

Les échanges ont été ponctués de conférences et table rondes. Parmi les intervenants, vous avez pu retrouver Jean-Christophe Guerrin d’Ahmisa Voyages, membre ATR.

>> Retrouvez l’analyse de ces UTD faite par Guillaume Cromer en cliquant ici.

Boomerang Voyages signe une belle progression cette année, avec une offre étoffée au niveau clubs et activités proposées, des nouveautés qui semblent séduire !

Parmi les marques de ce groupe, on retrouve Kappa Club, membre labellisé ATR ! Les Kappa Clubs sont une introduction à la découverte du pays hors des sentiers battus. Ils proposent des activités culturelles propices à la découverte et à la rencontre avec les locaux : repas chez l’habitant, pêche locale, soirées musicales etc. Le programme Kap Pépites permet également de sensibiliser les enfants à l’écologie via des activités ludiques finançant diverses associations.

>> L’article est à lire en intégralité sur TourMag.

Ponant, membre ATR, est candidat aux Césars du Voyage Responsable, une cérémonie visant à récompenser les meilleures initiatives durables et responsables qui aura lieu en mars 2023 !

Ponant est une compagnie qui entend concilier croisière et tourisme responsable.

Wassim Daoud, directeur RSE et Développement durable, explique les engagements de la compagnie. Un article à lire en intégralité sur Tourmag.

Les Universités du Tourisme Durable 2022 se sont tenues à Montpellier devant près de 500 participants réunis les 6 et 7 octobre autour du thème « Affronter les paradoxes : transition ou rupture ? ».

Parmi les intervenants, Jean-Christophe Guerrin d’Ahimsa Voyages (membre ATR) : « Depuis 2021, nous proposons des voyages en Europe sans prendre l’avion, et des voyages en long-courrier de quatre semaines minimum. C’est difficile de changer de logiciel de croissance, et d’accepter de faire voyager moins de clients ».

>> L’Echo Touristique vous propose un résumé des 4 leçons à retenir de ces UTD.

“Affronter les paradoxes : transition ou rupture ?” tel était le thème des Universités du Tourisme Durable de cette année 2022 !

Le nombre de participants en net augmentation démontre bien l’intérêt grandissant du secteur pour les questions écologiques et sociales.

Parmi les intervenants pendant ces deux jours, Jean-Christophe Guerrin (Ahimsa Voyages, membre ATR) et Vincent Fonvielle (co-président de l’association).

> Plus d’informations sur les UTD en cliquant ici.

Ponant, membre ATR, est candidat aux Césars du Voyage Responsable, organisés par TourMag, qui auront lieu en mars 2023.

A cette occasion, TourMag revient sur le podcast (X)périentiel avec Wassim Daoud, directeur du développement durable chez Ponant, que vous avez pu notamment entendre sur notre atelier Environnement & Tourisme à l’IFTM Top Résa.

Ponant veut amener les passagers explorer le monde mais aussi les sensibiliser à une meilleure compréhension de l’environnement et des cultures locales. Formation du personnel, échanges avec des guides naturalistes et conférenciers, recherche de technologies décarbonées… retrouvez l’intégralité des actions Ponant pour un tourisme plus responsable en cliquant ici.

Véritable couteau suisse, Voyage avec Vue, nouveau membre ATR, est un guide de voyage en ligne qui rassemble des hôteliers, croisiéristes, offices de tourisme, réceptifs, tour-opérateurs, restaurants, sites culturels etc., sur un même site! Tous les interlocuteurs dont vous avez besoin pour optimiser l’organisation et le déroulement de votre séjour.

Dans les colonnes de l’EchoTouristique, Carole Ange revient sur le lancement de ‘Voyage avec vue‘ (concept, partenaires, produits…). Une interview à retrouver en cliquant ici.

Julien Buot, directeur d’ATR, retrace pour la Revue Espace une petite histoire du développement du tourisme durable en France, en se basant notamment sur son expérience de formateur, dans les écoles comme auprès des professionnels.

« Il faut associer dès maintenant les acteurs en place, mais également les touristes, aux apprentissages des manières de produire et consommer plus sagement des voyages »

>> Un article à lire en intégralité dans la Revue Espace.

Agnès Decramer, cofondatrice de Feelingo, nouveau membre ATR, vous en dit plus sur Koob, une plateforme digitale qui met en relation et accompagne les professionnels du tourisme. Une interview pour (X)périentiel, le podcast du tourisme positif, à retrouver en cliquant ici.

Les programmes de ‘compensation’ carbone sont très utilisés par certaines entreprises, mais sont-ils pour autant efficaces ?

Chez ATR, nous préférons parler de contribution carbone : le financement de projets de solidarité climatique est utile pour réduire la concentration globale des GES dans l’atmosphère, mais ne saurait se passer d’efforts premiers de réductions de ceux-ci. La contribution n’annule pas l’émission, et ne doit donc être utilisée que de façon sérieuse et certifiée, pour un impact certain, pour la part d’émissions incompressibles restantes après un plan de réduction des GES appliqué.

« Pour Julien Buot, Directeur d’Agir pour un Tourisme Responsable (ATR), l’important est de se mettre dans une trajectoire de réduction d’émissions et de disposer de crédits carbones certifiés : « Il faut qu’ils soient évalués sérieusement ». Il rappelle également que ces programmes permettent, au-delà des questions environnementales, d’accompagner des pays en développement sur des projets précis. »

>> L’intégralité de l’article est à lire sur deplacementspro.com 

Les Universités du Tourisme Durable 2022 auront lieu les 6 et 7 octobre prochains à Montpellier ! Chaque année, une région hôte est choisie, notamment pour sa politique innovante et ambitieuse en matière de tourisme responsable : direction l’Occitanie !

ATR sera représentée avec en intervenant Jean-Christophe Guerrin (Ahimsa Voyages) le jeudi 6 sur la table-ronde « Le courage d’affronter les paradoxes du tourisme ».

>> Tout le programme est à retrouver en cliquant ici.

David Praire, directeur de Grand Angle (membre labellisé ATR), était au micro d’Emmanuelle Bastide pour l’émission 7 Milliards de Voisins sur RFI.

Si après deux ans de pandémie, le tourisme international retrouve le chemin de la croissance, qu’en est-il du tourisme responsable ? Peut-il supplanter le tourisme de masse ?

>> Une émission à écouter en intégralité en cliquant ici

Contribution carbone, choix du train à privilégier sans pour autant bannir l’avion complètement, pass carbone… Autant de sujets évoqués par Julien Buot, directeur d’ATR, au micro de Linda Lainé pour l’EchoTouristique.

« Le voyage doit redevenir exceptionnel, rare, dans tous les sens du terme, très qualitatif »

>> Une interview à écouter en intégralité en cliquant ici.

Julien Buot, directeur d’ATR, et Lionel Rabiet, directeur de Voyages d’Exception (membre ATR), étaient tout deux intervenants à la conférence « Agences de voyages : quels sont les premiers pas à faire pour s’engager vers le tourisme responsable » sur le salon IFTM Top Résa.

L’objectif ? Embarquer toute l’industrie. Pour cela, la formation de l’ensemble des collaborateurs d’une entreprise, ainsi que la sensibilisation des clients, sont essentielles.

> Retrouvez l’intégralité de l’article en cliquant ici.

Loïc Blaise, aviateur-explorateur, interviendra dans une conférence exceptionnelle au salon IFTM Top Résa, mercredi 21 septembre à 11h30, dans l’espace conversation du salon.

En attendant, Julien Buot, directeur d’ATR, vous propose de le découvrir dans une interview pour l’EchoTouristique !

Son portrait, son parcours, ses expéditions, son combat, le développement de l’avion propre… vous sauvez tout en cliquant ici.

Retrouvez mercredi 21 à 11h30 sur le salon IFTM, une conférence exceptionnelle avec Loïc Blaise, aviateur-explorateur, qui viendra alerter sur l’urgence climatique et nous partager ses projets de vols 100% propres !

« Plutôt que le fatalisme ou le renoncement, je vous propose face à l’ampleur de ce qui se dresse face à nous l’adaptation, la beauté des défis, le courage de la transformation et l’audace de la résilience à hauteur d’homme. » – Loïc Blaise

> Un article Tour Hedbo à lire en intégralité en cliquant ici

Dans son manifeste pour un tourisme responsable publié en 2019, Kappa Club (membre labellisé ATR) s’était fixé 10 objectifs pour réduire son impact, dont celui de contribuer à hauteur de 100% des émissions carbones émises par ses clients dès 2025. Deux ans plus tard, la moitié de cet objectif est déjà atteint !

Par leur fond de dotation, Terres de demain, et en partenariat avec Voyageurs du Monde et leur fondation Insolite Batisseur, Kappa Club finance des projets de solidarité climatique comme la restauration de la mangrove en Indonésie ou encore la sensibilisation des habitants au Sénégal.

>> Plus d’informations en cliquant ici.

Dans l’Entretien de la Semaine de RCF Radio, Lionel Habasque (Voyageurs du Monde – Terres D’aventure) répond à la question : Comment associer le désir de voyager et nos préoccupations écologiques?

Si la crise sanitaire semble avoir exacerbé la prise de conscience écologique, elle a également pousser le désir de voyager des personnes après avoir passer plusieurs mois en confinement.

Quelles solutions ? A long-terme, le biocarburant ? Et à court-terme ? Contribution volontaire avec Insolite Bâtisseur, voyager moins souvent mais plus longtemps…

Un podcast à écouter en intégralité en cliquant ici.

En cet été 2022, le sujet phare a été les quotas touristiques, inaugurés notamment dans la Calanque de Sugiton à Marseille mais aussi en Corse, dans les Alpes etc.

Mais ces quotas sont-ils vraiment une solution ? Ou plutôt un « aveu d’échec », une mesure prise en dernière recours ?

« Si tous les acteurs de la chaîne de gestion et de promotion touristique sont compétents et responsables, normalement les quotas ne devraient pas exister. On devrait pouvoir aménager les sites pour accueillir du volume en conséquence et le réguler d’autres manières. Souvent, il est trop tard et par défaut on restreint l’accès », explique Julien Buot, directeur d’ATR.

La suite de l’article est à lire sur le site du Journal du Dimanche en cliquant ici.

« Plus que jamais, les professionnels du tourisme doivent s’engager et rappeler que « semer des voyages peut permettre de récolter la paix  », et que « notre humanité se construit aussi grâce au voyage  », mais pas à n’importe quelles conditions. »

Dans cette tribune de l’EchoTouristique, Julien Buot, directeur d’ATR, revient sur les conséquences de la pandémie de Covid-19 sur les perceptions du voyage, notamment du voyage lointain. La prise de conscience de la nécessité d’agir pour un tourisme plus responsable, qui maitriserait et limiterait sa participation au changement climatique, est plus que jamais prégnante, mais est-elle une question de génération ? Quel sera le voyage de demain ?

Un article à retrouver en intégralité en cliquant ici.

Vincent Fonvielle (La Balaguère – Co-président d’ATR) était aux traditionnelles Rencontres du e-tourisme à Pau.

Le tourisme durable était encore une fois un enjeu incontournable de cette 18eme édition.

> Lire l’article en intégralité en cliquant ici.

Le quotidien touristique anglais Skift revient sur les mesures de quotas mis en place en France cet été pour lutter contre la surfréquentation de certains sites. Mais les quotas ne sont pas la solution ultime pour tous les sites naturels, alors que certains peuvent tout à fait accueillir des milliers de touristes par jour, et d’autres seulement une dizaine, tout dépend de leur capacité et de leur aménagement.

“The volume is not the only problem,” said Buot. “We as professionals in the private and public sector have to anticipate.” (La quantité n’est pas le seul problème – explique Julien Buot – En tant que professionnels du secteur public ou privé, nous devons anticiper).

Le reste de l’article est à lire en cliquant ici.

Deux nouveaux rendez-vous des ateliers IFTM sont programmés pour le mois de juillet 2022. Au programme : valorisation du métier d’agent de voyages et changement climatique.

C’est Julien Buot, directeur d’ATR, qui animera la formation ‘Environnement et changement climatique’ le mardi 19 juillet à 11h. Un tchat vous permettra de poser toutes vos questions en direct.

Plus d’informations sur ces ateliers à retrouver dans l’article de TourMag !

La surfréquentation des sites touristiques est un enjeu majeur pour un grand nombre de destinations. Venise, la baie d’Halong, Dubrovnik, Machu Picchu, la plage de Maya Bay… Pas besoin de partir à l’autre bout du monde pour se rendre compte de cela : au Mont Saint-Michel, au parc national des Calanques de Marseille, à Paris ou encore en Corse.

Cet article de France 24 dévoile les nouvelles mesures de quotas mises en place par certains territoires pour lutter contre ce phénomène. « L’idée est de s’y prendre suffisamment tôt pour ne pas en arriver à une interdiction totale des sites » explique Julien Buot, directeur d’ATR.

Un article à retrouver dans son intégralité en cliquant ici.

Comment les opérateurs de voyage peuvent-ils agir contre le réchauffement climatique ? Ce sujet semble être devenu un incontournable et le nier n’est plus une possibilité.

Dans cette interview, Lionel Rabiet, fondateur de Voyages d’Exception, membre ATR, explique sa vision du voyage d’aujourd’hui et de demain et comment les voyagistes peuvent être des acteurs de la décarbonation : bonnes pratiques, échanges, formations, contribution etc…

« En tant qu’agent de voyages, nous pouvons avoir un impact sur ces fournisseurs en favorisant dans nos choix et nos négociations, ceux qui sont les plus vertueux. C’est ce que font par exemple les membres de l’association ATR. »

L’intégralité de l’interview est à retrouver ici.

Des labels, il en existe beaucoup ! Le Figaro Voyages vous propose d’y voir un peu plus clair avec une présentation d’une dizaine de labels de différents secteurs (hébergement, tour operating, parcs etc.).

Parmi les labels mis en avant, le label ATR !

« Pionnier dans la réflexion autour du tourisme responsable et de la responsabilité des voyagistes, ATR est un label fiable et transparent. »

Un article à retrouver en cliquant ici.

Lors des Trophées Horizons, organisés par l’association Acteurs du Tourisme Durable (ATD), les initiatives les plus novatrices et inspirantes ont été récompensées.

Parmi elles, un membre d’ATR : Nomade Aventure ! Félicitations !

Découvrez le reste des lauréats.

Dès juillet, 3 sites particulièrement prisés de l’île de beauté seront soumis à quotas afin de les préserver. Concrètement, cela signifie que les visiteurs devront réserver s’ils veulent pouvoir accéder à ces paysages. Un mécanisme qui n’est pas nouveau: il a été mis en place dans deux calanques de Marseille, au Machu Picchu, au Bhoutan etc…

« La surfréquentation n’est pas un sujet nouveau. C’est un problème qui s’accentue parce que le nombre de touristes qui traversent une frontière pour leurs vacances a doublé en vingt ans, explique Julien Buot, directeur de l’association Agir pour un tourisme responsable. (…) Depuis plusieurs années, nous invitons les collectivités locales à prendre leurs responsabilités à ce sujet. »

Retrouvez l’ensemble des explications de cette mesure et les propos de Julien Buot à ce sujet en cliquant ici.

Comment profiter pleinement de ses congés en limitant les impacts sur l’environnement, les sites touristiques et les habitants ?

Ce guide produit par l’ADEME vous explique les bonnes pratiques à suivre pour des vacances responsables : transports, hébergements, comportement sur place… Vous retrouverez ce guide du vacancier exemplaire en cliquant ici.

Suite à la crise sanitaire, un autre tourisme va-t-il s’imposer ?

Si les chiffres annoncent un été record, des difficultés persistent, notamment au niveau d’un manque de main d’œuvre.

Alors que 400 millions de personnes voyagent dans le monde aujourd’hui (sur 7 milliards), on ne semble pouvoir qu’aller vers une démocratisation du voyage et donc une massification. Le tourisme responsable est-il une niche ou est-il voué à s’étendre ?

Les réponses de Frédéric Thomas, économiste, Betrand Réau, sociologue, et Lionel Habasque, directeur général de Voyageurs du Monde, membre fondateur d’ATR, à retrouver sur RFI en cliquant ici.

Partout dans le monde, des sites ultra-touristiques commencent à tenter de réguler le flot quotidien de visiteurs.

Venise, Amsterdam, le Machu Picchu…et même en France avec par exemple les Calanques de Sugiton à Marseille.

Ce podcast se propose de répondre aux questions suivantes : faut-il réguler le tourisme de masse ? devons-nous repensez nos pratiques touristiques ? comment construire un tourisme plus respectueux de la biodiversité et de l’écologie ?

Quotas, démarketing, innovation territoriale ou encore pédagogie au tourisme seront discutés par les intervenants. Lionel Habasque, Directeur général de Voyageurs du Monde, membre fondateur d’ATR, en fait parti.

Un podcast à écouter en cliquant ici !

ATR est chef de file d’un projet ERASMUS+ : Agir pour un Tourisme Responsable Européen (ATRE).

Avec cinq autres partenaires représentant 5 pays européens (France, Belgique, Espagne, Grèce, Italie), ce projet vise à développer des outils d’éducation des adultes au changement climatique en voyage !

Plus d’infos à découvrir ici.

Kappa Club invite les agents de voyages à prendre un virage durable.

Fort de son grand succès en 2021 ayant permis de former à cette problématique d’avenir pas moins de 250 agents de voyages de toute la France, le tour-opérateur réédite l’expérience. Le tour-opérateur du groupe NG Travel propose donc à nouveau une formation gratuite, financée par le TO, à tous les agents de voyages français. La formation est dispensée par TravelPro Formations et imaginée par Agir pour Un Tourisme Responsable (ATR).

Cette formation est organisée en ligne les 22, 23,et 24 juin 2022 de 9h à 12h30. Attention les places sont limitées.

Un article à retrouver sur tourmag.com

PODCAST – Dans « Minute Papillon ! », Julien Buot, directeur de l’association Agir pour le Tourisme Responsable, délivre des conseils pour que le voyage soit plus respectueux de l’environnement et des populations.

Julien Buot estime qu’« il faut changer nos habitudes de voyages ». Depuis vingt ans, il prône un tourisme « qui ne se fait pas au détriment des habitants sur place ».

Une interview pour 20 minutes, donnée à l’occasion de la Journée Mondiale du Tourisme Responsable, à retrouver en cliquant ici.

Au mois de juin, 12 Trophées Horizons récompenseront des acteurs engagés dans la voie d’un tourisme plus vertueux. Après plusieurs semaines d’étude des 139 candidatures, 38 finalistes sont toujours en compétition.

Parmi les finalistes, deux membres ATR dans la catégorie ‘Mobilités’ ! Félicitations à Allibert Trekking et Nomade Aventure.

La liste complète des finalistes par catégorie en cliquant ici.

Parmi les 139 candidats aux Trophées Horizons, 38 initiatives ont été sélectionnées parmi les finalistes ! 

Portés par l’association ATD, et soutenu par l’ADEME et le Ministère de l’Europe et des Affaires Etrangères, ces trophées ont pour objectif de récompenser des initiatives à impact positif, répondant aux principaux enjeux de la transition du tourisme.

La finale se tiendra le 27 juin à Paris. En attendant, découvrez la liste complète des finalistes et leurs projets en cliquant ici.

Interview croisée de Julien Buot et Antoine Richard.

Cet article de TourMag revient sur le changement de présidence d’ATR, les nouveaux projets portés par l’association, ses engagements sur le climat etc.

Retrouvez le en cliquant ici.

Cette brève de l’Echo Touristique annonce l’élection d’Antoine RICHARD comme Co-président d’ATR aux côtés de Vincent FONVIEILLE.

Antoine Richard, qui était déjà au comité exécutif d’ATR, est le DG-cofondateur de Double Sens. Son agence de voyages, créée à Rennes en 2005, est l’un des premiers titulaires du nouveau label ATR depuis 2016.

Retrouvez le en cliquant ici

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Comment Voyageurs du Monde compense ses émissions cde CO2 et à quel prix ? L’absorption est-elle devenue un business ? 

Les réponses d’Alain Capestan, directeur général de Voyageurs du Monde, membre pionnier d’ATR, dans son interview à l’Echo Touristique à retrouver ici.

Tirez parti de l’expérience d’Allibert Trekking pour l’organisation de vos prochaines vacances au grand air !

Génération Voyage vous propose de découvrir Allibert Trekking, une agence de voyage engagée, membre labellisé d’ATR, fondée à Grenoble il y a plus de 45 ans.

Aujourd’hui, cette agence de voyage responsable et solidaire compte plusieurs centaines de guides-accompagnateurs chevronnés. Elle organise des voyages à pied, mais aussi à vélo, à ski, raquettes ou encore kayak, sur les cinq continents. Les expériences proposées s’articulent autour de valeurs simples promouvant un tourisme éthique, propre et responsable.

Retrouvez le portrait complet d’Allibert Trekking, ainsi que des idées de voyages responsables, en cliquant ici !

Quels sont les labels du tourisme durable à privilégier pour voyager différemment et en toute confiance ? 

S’il est parfois difficile de s’y retrouver dans toutes les sous-catégories du tourisme vert et responsable, distinguer tous les labels du tourisme durable l’est encore plus. Generation Voyage vous aiguille alors dans la jungle des certifications et vous propose une liste détaillée de 10 labels du tourisme durable à privilégier pour voyager différemment. 

Le label ATR est dans la liste ! Retrouvez les 9 autres labels mis en avant en cliquant ici.

Demain, les pratiques touristiques seront forcément différentes. Or demain se prépare aujourd’hui.

Afin d’aider les entreprises du voyage à y voir plus clair quant aux nombreux enjeux qui planent sur le secteur du voyage, TravelPro formations a progressivement fait évoluer son catalogue pour intégrer tout un programme de formations axées sur le développement durable. Tourisme responsable, changement climatique, RSE, sobriété numérique, éco-responsabilité des hébergements (…) sont à présent à l’affiche d’un centre de formation décidé à jouer son rôle dans la transition écologique de l’ensemble du secteur touristique.

Dirigé par Sylvie Da Sylva, TravelPro formations est partenaire d’ATR. Julien Buot, directeur de l’association, encadre notamment la formation Tourisme Responsable.

Retrouvez plus d’informations dans l’article de Voyageons Autrement en cliquant ici.

Calculer son empreinte carbone, pour un voyageur, c’est le préalable avant de compenser son billet d’avion par exemple. Sauf que, selon les calculateurs, les résultats affichés diffèrent fortement.

En attendant des avions moins énergivores, et des carburants plus respectueux de l’environnement, les Français ne vont pas renoncer à leurs voyages à l’étranger. En revanche, un nombre croissant de passagers songent à compenser ou à absorber les émissions de gaz à effet de serre (du CO2 principalement) liées à leurs vols. Les entreprises du secteur aussi. Mais selon le calculateur choisi, les bilans carbone varient très fortement ! 

Retrouvez 5 calculateurs décryptés dans cet article de l’Echo Touristique.

Lors de son dernier congrès en septembre 2021 à Agen, la Fédération ADN Tourisme a lancé un manifeste pour un tourisme responsable qui doit se traduire concrètement par des initiatives locales que met en avant ce premier Challenge des territoires insoupçonnés.

L’objectif ? Inciter les organismes institutionnels de tourisme à créer des offres responsables, limitant l’impact carbone, favorisant l’expérience et la rencontre et permettant l’étalement des flux touristiques et accessibles en mobilités douce.

Retrouvez les lauréats de ce challenge en cliquant ici !

Dans le cadre du plan de relance économique France Relance, l’État a dédié une enveloppe de 4,7 millions d’euros pour développer le « Slow tourisme », un tourisme durable permettant le développement économique du territoire tout en respectant les enjeux environnementaux.

Parmi les 73 projets sélectionnés, une dizaine se situent dans les Outre-mer, de la Martinique à Tahiti, en passant par La Réunion.

« Ce n’est clairement pas suffisant, estime Julien Buot, directeur d’Agir pour un Tourisme Responsable. Mais en même temps, on n’a jamais vu autant d’argent pour accompagner la transition écologique et sociale de notre industrie (…) Ce montant-là, en moyenne, ça peut être beaucoup pour une petite entreprise. »

Retrouvez la liste des lauréats ultramarins dans l’article en cliquant ici !

Il y a urgence à faire de la France une destination responsable et un bassin émetteur de voyageurs exemplaires.

À l’heure de la reprise, qui pourrait bien être une nouvelle fois enrayée, l’atterrissage est difficile et le tourisme responsable est encore loin d’être à l’ordre du jour de tous les acteurs publics et privés du secteur.

Or il est grand temps de prendre le taureau par les cornes et de s’attaquer franchement aux externalités négatives du tourisme.  Il est urgent et digne de penser la ressource : une planète vivante, une planète vivable sans laquelle le tourisme ne pourrait pas prospérer. Car oui, les voyages, quand ils sont bien faits, peuvent être un formidable vecteur d’impacts positifs.

Une tribune de Julien Buot, directeur d’Agir pour un Tourisme Responsable (ATR), à retrouver en intégralité sur l’Echo touristique.

La crise du Covid-19 fait réfléchir et avancer l’industrie vers un tourisme plus vertueux. La preuve avec ce nouveau groupement de 8 agences et tour-opérateurs qui cofinancent des calculateurs d’émissions de gaz à effet de serre. En attendant de mutualiser des projets de compensation carbone, ou plutôt de « captation ».

Une interview d’Alexandre Zurcher, fondateur de Vintage Rides, à retrouver sur l’Echo Touristique.

Pour les voyagistes scolaires la situation reste toujours alarmante.

Depuis le 1er mars 2020, les voyages scolaires à l’étranger ne sont pas seulement à la peine, mais totalement à l’arrêt. Dans un mois et demi cela fera 2 ans. Alors qu’en septembre, les carnets de commandes s’agitaient, les téléphones sonnaient, la vague omicron a tout raflé. Depuis novembre, les annulations pleuvent déjà.

Dans la difficulté, les voyagistes regardent tout de même l’avenir avec optimisme. Alors que certains développent la destination France, d’autres ouvrent des chantiers d’envergure comme celui du tourisme responsable. C’est le cas de Vefe Voyages Educatifs devenu membre du réseau ATR.

Rencontre avec les patrons de différentes agences impactées dans cet article de TourMag.

Malgré les restrictions massives et la morosité touristique ambiante, Maurice Freund, le fondateur du Point-Mulhouse, Point-Air et aujourd’hui Point-Afrique a de nouveau décidé d’investir sur le pays de l’Afrique du Nord-Ouest. Peu importe les risques à prendre, le patron ne lâchera pas la Mauritanie et appelle les autres TO à le suivre.

Jean-François Rial, patron de Voyageurs du Monde répond à l’appel et s’engage également dans un projet d’école d’agro-agriculture à Maaden avec Maurice Freund.

Un article de l’Echo Touristique à retrouver ici !

Relancé par la pandémie de Covid-19, un tourisme plus respectueux de l’environnement et des populations gagne du terrain. Directeur de l’association et du label de voyagistes Agir pour un tourisme responsable, Julien Buot explique pourquoi il est urgent de voyager moins mais mieux.

Une interview à retrouver sur Madame Figaro en cliquant ici.

Quel est l’impact local d’un voyage à destination ?

Lors du dernier séminaire ATR tenu à Granville fin septembre, quelques-uns des membres présents ont pris la parole pour s’interroger sur les retombées locales de leur activité avec pour objectif d’appréhender son impact économique et social (pour changer de l’environnemental !) dans les régions du monde parcourues.

Retour sur quelques témoignages inspirants qui ont marqué ce temps d’échanges et livrent des pistes intéressantes pour entrainer l’ensemble du collectif dans une amélioration continue des pratiques dans l’article de Voyageons Autrement ici !

Alors qu’on assistait il y a de cela quelques années à un écochuchotement, les entreprises ne communiquant pas sur leurs bonnes pratiques, il semble qu’on assiste aujourd’hui à un retour du greenwashing.

Du côté demande, on note de plus en plus de Français se déclarant sensible aux thématiques du tourisme responsable. Côté offre, inlassablement, un déferlement de communication en ce sens, sans que l’on sache bien la sincérité des propos.

Dans cet édito pour l’EchoTouristique, Julien Buot recommande « d’être précis, humble et transparent dans sa communication pour neutraliser les accusations de greenwashing et les tentations de communication trop vagues et faciles. »

« Agir, c’est déjà bien, mais en faire la preuve, le faire collectivement, et communiquer précisément, c’est mieux. »

> Un article à retrouver en intégralité en cliquant ici.

Voyages d’Exception (ex-Croisières d’Exception), membre d’ATR depuis janvier 2020, repart à la conquête du marché. Lionel Rabiet, son fondateur, nous explique comment le voyagiste compte reprendre la croissance observée avant la pandémie.

Une interview à retrouver sur l’Echo Touristique en cliquant ici.

Soyons à la hauteur des promesses, et attention à celles et ceux qui chantent de (trop) beaux « len(ts)demains » pour être vrai…

En 2015, à l’occasion de la Journée mondiale du tourisme responsable, ATR organisait un colloque qui tentait de répondre à la question suivante : comment passer du greenwashing au greenmarketing, sans passer par le greenhushing (écochuchotement) ?

Après des années 2000 ponctuées de discours, mais trop peu d’actes, et des années 2010 avec beaucoup d’actes et trop peu de discours, nous assistons en ce début des années 2020 au grand retour de
« l’écoblanchiment ». Notamment chez les nouveaux entrants ou autres repentis qui annoncent que, promis, on ne les y reprendrait plus cette fois et que le sujet du tourisme durable ne sera pas une option, sera pris au sérieux, tout en restant positif et joyeux…

Un article de Julien Buot, directeur d’Agir pour un Tourisme Responsable (ATR) à retrouver sur l’Echo Touristique.

Les membres d’ATR et quelques partenaires associés étaient réunis à Granville en cette fin de septembre pour participer au séminaire annuel de l’association sur le thème de la proximité. Trois jours denses et intenses pour partager tables rondes et débats, découvrir les perles du territoire normand mais aussi souder un collectif animé par un objectif commun, progresser toujours plus avant pour limiter les impacts négatifs de l’activité touristique tout en maximisant ses bienfaits. Après deux années de Covid qui ont durement fragilisé certains membres, il faut saluer un collectif conscient que le tourisme de demain passera forcément par des engagements forts et toujours désireux d’aller de l’avant !

Retrouvez un condensé des échanges et engagements qui ont fait le séminaire de Granville dans l’article de Voyageons Autrement en cliquant ici !

Après Jean-François Rial et Valérie Boned, c’est au tour de François Piot, patron du groupe Prêt à Partir, de se prêter au jeu de l’Echo Touristique : commenter leurs dossiers et interviews avec des tweets façon mag.

François Piot rebondit notamment sur la grande enquête « Travailler avec des TO ou des réceptifs étrangers : comment faire son choix ? » , l’interview de la sociologue Saskia Cousin, le dossier consacré aux destinations d’Outre-mer etc.

Un article de l’Echo Touristique à retrouver en cliquant ici.

Réunis en séminaire à Granville, les membres d’ATR ont décidé de compenser 100% de leurs émissions de GES d’ici 2023, un pas en avant volontariste pour répondre à l’urgence climatique. Dans cette même logique, ATR s’engage à renforcer son label en entamant un gros travail de fond et de mises à jour sur l’ensemble de ses fiches destination, autant de chantiers qui prennent autant en considération l’urgence environnementale que les enjeux sociaux et économiques des voyages dans les territoires concernés. Des actes forts et une volonté de réaffirmer haut et fort la légitimité d’une association qui, depuis près de vingt ans, a su dépasser les crises et les doutes inhérent à un groupe de voyagistes (et au-delà) devenu très hétérogène, mais néanmoins soudé par une histoire forte et une volonté sincère d’aller de l’avant pour réaffirmer les valeurs du voyage.

Un article à retrouver sur Voyageons Autrement en cliquant ici !

Agir pour un tourisme responsable (ATR) a pris des engagements forts lors de son récent séminaire à Granville, réunissant une cinquantaine de participants.

Les membres TO labellisés d’ATR devront absorber l’ensemble de leurs émissions de CO2 dès le 1er janvier 2023, a-t-il été décidé lors de l’assemblée générale de l’association samedi 2 octobre. « C’est une décision forte en cette période de Covid-19, reconnaît Vincent Fonvieille, président de l’association. Il faut accélérer sur la contribution carbone, puisque le réchauffement climatique accélère. »

Contribution carbone, accélération de la labellisation, actualisation des fiches destinations, partage des bonnes pratiques…autant d’actions discutée lors du séminaire auxquelles s’attèlent l’association.

Des engagements et des discussions à retrouver dans l’article de l’Echo Touristique en cliquant ici !

Vincent Fonvieille, président d’Agir pour un tourisme responsable (ATR), était au micro de L’Echo touristique dans le cadre du forum international A World For Travel.

 Le tourisme de masse a des vertus, notamment sociales. Mais ce tourisme va progressivement laisser la place à un tourisme plus intelligent, de découverte, de rencontres.

Dans cette interview, Vincent Fonvieille explique aussi pourquoi il est favorable à l’intégration, dans le prix final d’un voyage, d’un coût écologique. Et le fondateur de La Balaguère rappelle également que, malgré tous ses travers, le secteur représente un emploi sur 10, notamment dans les pays les plus pauvres.

Une interview à retrouver sur lechotouristique.com

Directement impactées par la crise sanitaire, les agences de voyage ont dû parfois se réinventer et relever de nombreux défis pour faire face.

Retrouvez l’interview de Laurent Bourdenet, directeur de Chamina Voyages, en cliquant ici !

À l’approche de la saison estivale 2021, de nombreux pays annoncent la réouverture des frontières des lieux encore fermés, et l’assouplissement des mesures de restrictions mises en place pour lutter contre la pandémie de Covid-19.

Une bonne nouvelle pour le secteur touristique qui a perdu 1 300 milliards de dollars en 2020, sous l’effet des restrictions de déplacements. Si le tourisme de masse était déjà remis en cause avant la crise sanitaire, cette pandémie a profondément bouleversé notre rapport au voyage et aux vacances. Alors que le tourisme redémarre doucement, faut-il réellement changer nos comportements touristiques ? Faut-il partir moins loin ? Un tourisme durable, respectueux de l’environnement est-il possible ? 

Ce podcast fait intervenir Rémy Knafou, Saskia Cousin et Eric Balian, directeur général de Terres d’Aventure, membre fondateur d’ATR.

Retrouvez le sur RFI en cliquant ici.

Les touristes cherchent de plus en plus à voyager responsablement, en préservant l’environnement. Faut-il pour autant arrêter de se rendre à l’autre bout de la planète? Faut-il arrêter de prendre l’avion? C’est un peu plus compliqué que cela notamment car le tourisme durable ne se réfère pas seulement aux émissions de CO2 lors du voyage. Il implique aussi de préserver les sites touristiques, la biodiversité, et d’impliquer les populations locales. 

« Dans l’imaginaire, le tourisme responsable est réservé à une niche et s’oppose au tourisme de masse. C’est faux. Pour certains lieux fragiles, un touriste par an, c’est déjà trop. Mais il y a des endroits où recevoir 10.000 touristes par jour n’est pas un problème, même dans des endroits sensibles comme la Baie de Somme ou Etretat. A condition d’équiper les sites correctement et de travailler avec les acteurs locaux, les élus et les habitants », affirme Julien Buot, directeur de l’association ATR.

Retrouvez l’intégralité de l’article de BFM Business en cliquant ici.

La reprise en mode durable et l’incontournable réponse à l’urgence climatique.

Transformation pour les uns, respiration pour les autres, actions réfléchies ou encore cellules d’écoutes psychologiques, les réseaux multiplient les initiatives pour soutenir les professionnels du tourisme et les aider à faire le dos rond en attendant la reprise. Mais de quelle reprise parlons-nous ? Cette parenthèse désenchantée nous a-t-elle permis de penser, produire et vendre autrement nos voyages ? Il est grand temps d’évaluer et valoriser les impacts positif du tourisme mais aussi d’en assumer et réduire les effets négatifs, en commençant par affronter la question de l’urgence climatique ! Au delà de la simple tentation du local, que j’avais remise en perspective lors du premier confinement, il s’agit de rappeler le diagnostic du GIEC pour mieux se projeter, 5 ans après l’accord de Paris !

Une  tribune  de Julien BUOT, Directeur d’ATR, à retrouver en intégralité sur lechotouristique.com, un média professionnel qui propose une toute nouvelle formule avec encore plus de contenu sur le tourisme responsable !

Rendez-vous le jeudi 8 avril 2021 de 8h55 à 10h30 dans un format 100% dématérialisé pour les rencontres du tourisme durable.

Cet événement, organisé par le Groupe ADP et l’Alliance France Tourisme en partenariat avec le Cercle de Giverny, ambitionne de contribuer activement à la transformation écologique et sociale du secteur du tourisme, afin de répondre aux nouvelles attentes des consommateurs et aux impératifs de soutenabilité du secteur.

Découvrez le programme de ces rencontres en cliquant ici !

En dépit du confinement et d’une année forcément compliquée, l’actualité est riche pour le réseau Agir pour un Tourisme Responsable (ATR), qui a vu arriver nombre de nouveaux  membres cette année, a tenu avec succès son séminaire annuel, participé activement aux dernières Universités du Tourisme durable et continue à animer son réseau avec des webinaires mensuels qui visent également à former les nouveaux membres, quitte à en attirer d’autres. On fait le point avec Julien BUOT, directeur d’ATR qui coordonne l’ensemble du réseau depuis 2014. En cette fin d’année 2020, Voyageons-Autrement.Com

> un article à retrouver sur voyageons-autrement.com

> un article à retrouver sur lechotouristique.com

Compensation carbone, droit aux vacances et aux « valeurs » étaient au coeur du séminaire organisé par Agir pour un tourisme responsable.

« Il faut planter des arbres, mais cela ne suffit absolument pas », a souligné Gérard Ruiz, administrateur des Acteurs du Tourisme Durable (ATD) et représentant de l’Association Nationale des Elus du Littoral. C’était lors du 10e séminaire d’Agir pour un tourisme responsable (ATR), organisé du 1er au 3 octobre dans les Hautes Pyrénées.

« Il faut avoir un comportement vertueux, et se mettre dans un cercle vertueux de production. Pour les producteurs, cela implique des questions de responsabilité sociale, la mesure des efforts économiques, l’adaptation des offres. » Et pour Gérard Ruiz, si le patron n’est pas convaincu, les salariés – aussi engagés soient-ils- peineront à distiller une stratégie hautement responsable.

> un article  à retrouver sur lechotouristique.com

Dans son numéro 500 « Voyager en 2021, au plus près de la nature, à l’écart des foules, en respectant la planète… », le magazine GEO consacre une bonne part de ses colonnes au tourisme responsable, avec notamment  cet article « Vers la fin du tourisme de masse ? » dont voici un extrait.

« Les mentalités évoluent vite, tous les voyagistes le constatent, au point même de se sentir dépassés par ce mouvement de société » rétorque Julien Buot, à la tête d’Agir pour un Tourisme Responsable (ATR). Depuis 2004, cette association promeut un label destiné aux opérateurs de voyages engagés dans le tourisme durable. Selon des critères environnementaux, mais aussi éthiques et sociaux, comme les conditions de travail des guides ou des chauffeurs de bus. Seize entreprises françaises ont été certifiées, parmi lesquelles Les Maisons du Voyage, Circuits Découvertes by Club Med ou encore Terres d’Aventure. Signe des temps : soixante autres voyagistes sont actuellement en demande de labellisation. Du jamais vu ! Quant au rêve d’une certification touristique à l’échelle européenne sur le modèle de la labellisation bio, il fait sont chemin. « Ces progrès prouvent que des évolutions sont possibles rapidement » insiste Julien Buot. A l’horizon 2025, le label ATR imposera par exemple que 100% des émissions carbone produites par un client soient compensées par l’agence de voyages. »

> Un numéro à retrouver sur geo.fr

> Découvrez aussi l’éditio d’Eric MEYER

Alors qu’une crise sans précédent touche le tourisme, et que le syndrome du poisson rouge atteint une part croissante d’entre nous, certains comme l’idéologue Rodolphe CHRISTIN enfoncent le clou et voudraient voir disparaître un phénomène qui a plus de qualités que de défauts. Quand d’autres s’interroge de façon plus constructive sur la manière de changer de modèle sans tuer la poule aux oeufs d’or, à l’image du journaliste du Monde Jean-Michel BEZAT.

Snober le voyage, c’est oublier tous les professionnels du tourisme qui à travers le monde se battent pour apporter la meilleure qualité de service aux voyageurs.

Snober le voyager, c’est oublier toutes les vertus du tourisme et les efforts menés par les entreprises et les pouvoirs publics pour en corriger les vices.

Snober le voyager, c’est ne plus compter sur les effets directs, indirects et induits par le tourisme pour le développement durable et la paix dans le monde.

D’un point de vue économique, l’Organisation Mondiale du Tourisme alerte notamment sur le « besoin critique de soutien urgent » des petits états insulaires en développement dont les économies et le financement des politiques publiques dépendent beaucoup du tourisme et de ses recettes. Si on rappelle depuis longtemps que la croissance du tourisme n’est pas toujours synonyme de développement (rapport d’Emmanuel DE KADT pour l’UNESCO en 1979), l’Organisation des Nations Unies rappelle que le tourisme constitue toutefois un formidable levier pour atteindre d’ici 2030 les « Objectifs de Développement Durable » (ODD). Le comité interministériel du tourisme en France pourrait d’ailleurs s’appuyer sur cette feuille de route universelle pour accélérer les transformations et suivre le chemin tracé par des labels comme Agir pour un Tourisme Responsable (ATR) depuis plus de quinze ans.

Depuis Irkoutsk en Sibérie, Irina MUZYKA, confirme qu’avec l’arrêt du tourisme, c’est toute une région qui s’interroge sur son avenir. La créatrice de Baïkal Voyage, partenaire de plusieurs agences titulaires du label ATR dont l’Arbre à Voyages, précise que l’accueil des voyageurs permets non seulement de créer des emplois et de lutter contre l’exode rural mais aussi de rénover et valoriser le patrimoine tant naturel que culturel et humain de la province russe.

D’un point de vue environnemental, le MOOC sur l’écotourisme proposé en 2016 par les universités de Toulouse et Jendouda (Tunisie), avait permis de rappeler que le tourisme est aussi un outil de conservation de la nature. On y prenait l’exemple de l’archipel des Raja Ampat en Indonésie, où la plongée a remplacé la pêche à la dynamite. Avec l’implication des populations locales associées à la gestion des ressources naturelles dont dépend leur subsistance, on  a démontré que grâce au tourisme, un poisson vivant pouvait rapporter plus à l’économie locale qu’un poisson mort. Avec la pandémie de coronavirus, de nombreuses ONG s’inquiètent d’une recrudescence de la chasse illégale d’espèces protégés. En effet, que ce soit pour manger ou pour profiter de l’absence de touristes, les actes de braconnages se multiplient depuis la pandémie de coronavirus. Depuis les rives du lac Victoria, le guide accompagnateur Eric LE BOULCH confirme. « Quel bazar cette année ! » Cet expert de la faune et des peuples d’Afrique de l’Est, basé en Ouganda, craint que beaucoup d’entreprises du tourisme disparaissent, dans les bassins émetteurs de voyageurs comme dans les pays d’accueil. « Notre souci ici, ce sont les gorilles de montagne et les chimpanzés, nos proches cousins sensibles aussi au coronavirus et dont les territoires sont interdits jusqu’à nouvel ordre ». Le tourisme en Ouganda, c’est près de 10% du PIB et 60000 emplois. C’est aussi le meilleur moyen pour protéger la faune et la flore, au coeur de l’attractivité de la destination.

D’un point de vue sociétal, le dernier webinaire organisé par ATR a permis de rappeler que le tourisme est vecteur de solidarité, y compris quand le tourisme n’est plus possible. En 2015, suite au séisme au Népal, beaucoup d’opérateurs ont lancé des programmes de coopération et appelé à une reprise rapide des voyages pour que le pays s’appuie sur le tourisme pour se reconstruire. Depuis plus de 10 ans, exception faite de la Mauritanie où les voyages ont repris, plusieurs destinations du Sahara ne peuvent plus compter sur le tourisme pour se développer et s’ouvrir au monde. Au Mali, qui accueillait plusieurs centaine de milliers de voyageurs dans les années 2000, le tourisme est réduit à peau de chagrin. « Et les nouvelles de sont pas bonnes » d’après Vincent FONVIEILLE, président d’ATR et fondateur de La Balaguère. Le voyagiste pyrénéen vient même d’appeler à la solidarité de ses voyageurs pour aider un village du pays Dogon en proie à des pillages. A Madagascar aussi on s’inquiète. Si le tourisme est une composante importante de l’économie malgache, il l’est tout particulièrement autour des aires protégées. « Et dans le Makay, bien que le tourisme soit encore balbutiant, il n’en est pas moins devenu essentiel en offrant une sécurité financière pour les habitants de nombreux villages » explique Evrard WENDENBAUM, cofondadeur de l’association Naturevolution partenaire de Nomade Aventure qui appelle au don.

En France, les professionnels du voyage ont été « protégés » par diverses mesures qui doivent leur permettre de tenir le coup quelques temps. Tentons de nous tenir la main et de donner du courage à tous nos amis professionnels et autres bénéficiaires du tourisme à travers le monde. Faisons blocs contre tous les prophètes de malheur qui espèrent la fin des voyages. Et faisons ensemble la démonstration que le tourisme peut aussi être un accélérateur de la transition écologique et sociale qu’une part croissante de l’humanité appelle de ses voeux.

> Une tribune de Julien BUOT, Directeur d’ATR,  à retrouver sur  lechotouristique.com

« L’Espagne ou la Grèce espèrent remplir leurs hôtels cet été. L’industrie du tourisme fait vivre… mais elle détruit aussi, saturant le ciel et les sites. Réinventons l’art de voyager ! » clame Télérama dans son dossier tourisme cet été.

Que valent nos vacances si nos lieux d’escapades disparaissent sous les flots ou sont empoisonnées ? La pandémie rebattra-t-elle les cartes, et le ciel se zébrera-t-il de moins de traces blanches ? Ces questions sont désormais empoignées par certains ténors de l’industrie elle-même, tel Jean-François RIAL, pdf de Voyageurs du Monde, agence spécialisée dans le voyage sur mesure. « Le secteur du voyage subira la mise en place de taxes écologiques diverses », prévoit-il dans une note sur le tourisme post-COVID pour le think tank Terra Nova.

« Désormais désormais… » ça fait plus de 15 ans que Voyageurs du Monde est impliqué dans Agir pour un Tourisme Responsable (ATR), première association des acteurs du voyage responsable créée en 2004 et qui n’ont pas attendu le COVID19 pour s’engager et réinventer l’art de voyager !

Un article à retrouver sur telerama.fr

ATD fédère quelque cent cinquante organismes de tailles variées et se positionne comme «le représentant des acteurs du tourisme durable», en tentant de conjuguer des objectifs économiques, sociaux et environnementaux. D’autres groupes rassemblent des professionnels d’une même activité, à l’image d’Agir pour un tourisme responsable (ATR), qui réunit des voyagistes depuis 2004, ou de l’Association pour le tourisme équitable et solidaire (ATES), dont les trente-deux structures membres reversent une part de leurs bénéfices à des projets de développement (reboisement, construction de puits, écoles, etc.). «Il ne faut pas que l’on s’enferme dans la dictature du carbone, précise M. Julien Buot, président d’ATR, mais que l’on rappelle également les vertus du tourisme, facteur de paix et de rencontres entre les peuples.» Comment favoriser les échanges, l’ouverture au monde, l’abandon des préjugés sans aller toujours plus loin, plus vite, avec des structures toujours plus grosses et destructrices ?

Retrouver l’article de Geneviève CLASTRES et le dossier « tourisme, année zéro » sur monde-diplomatique.fr

Le label ATR est cité à de nombreuses reprises dans le dernier numéro de Socialter. Extrait :

Tourisme responsable, solidaire, équitable, communautaire… Les formes alternatives de tourisme ont le vent en poupe depuis quelques années. Et pour ceux qui s’en réclament, divers labels leur permettent de prouver leur engagement. Mais qu’apportent vraiment ces différents « sésames » ? ATR a mis en place une charte éthique du voyageur avec de nombreuses recommandations, allant du respect des coutumes locales au tri des déchets. Le label ATR impose également une attention particulière aux fournisseurs sur place. Une convention de partenariat est requise, ainsi qu’un échange régulier sur les bonnes pratiques sociales et environnementales que les prestataires pourraient adopter. Si les critères étaient au départ surtout sociaux, la composante environnementale a pris plus de poids depuis 2015. Désormais les opérateurs labellisés doivent faire un bilan carbone et compenser les émissions de CO2 liées au fonctionnement de leur entreprise.

L’interview de Saskia COUSIN, anthropologue du tourisme, revient aussi sur les bouleversements provoqués par le COVID-19 et l’importance de penser et mettre en place un « autre » tourisme.

L’alternative est simple : il y a d’une part ceux qui rompent avec l’économie marchande, comme par exemple le réseau de l’Association pour le Tourisme Equitable et Solidaire (ATES), qui fait voyager environ 3000 personnes par an ; et d’autre part ceux qui introduisent des normes dans les agences traditionnelles comme le réseau Agir pour un Tourisme Responsable (ATR) qui concerne beaucoup plus de voyageurs

Un magazine à retrouver sur socialter.fr

Après deux mois de confinement, les vacances d’été 2020 auront bien lieu mais elles auront une saveur un peu différente. Moins loin, plus authentique, plus économique et pourquoi pas plus écologique ? Alors que nombre de Français commencent à peine à réserver leurs congés d’été, quelques pistes pour les aider à troquer leur statut de touriste pour celui de voyageur responsable. Le site de l’Ademe, recense les labels les plus sérieux (Ecolabel Européen, Green Globe, ATR…). Vous pouvez aussi visiter le site de l’association Agir pour un tourisme responsable ou encore musarder sur les portails d’information spécialisés comme Babel Voyages et Voyageons autrement, devraient vous aider à opter pour des vacances tout aussi intéressantes mais bien moins polluantes.

Un article à retrouver sur lemonde.fr

Les Maisons du Voyage viennent d’obtenir le label ATR « Agir pour un Tourisme Responsable », certification officielle délivrée par EcoCert. Suite à cette labellisation, le département RSE « Responsabilité Sociétale de l’Entreprise » initié il y a trois ans va se développer, afin de rester en adéquation avec les critères exigés par le label explique un communiqué.

Un article à retrouver sur tourmag.com

Un article à retrouver sur lechotouristique.com

L’association Agir pour un Tourisme Responsable (ATR) a été créée en 2004. C’est en 2006 que le label voit le jour pour inviter les entreprises adhérentes à ne pas se contenter de discours et de quelques bonnes pratiques. Le label a donc été mis en place pour préciser les engagements du tourisme responsable et permettre aux voyagistes de faire la démonstration que les bonnes intentions se transformaient en actes. Puis un organisme indépendant a été sollicité pour évaluer les preuves de l’engagement des membres de l’association. Après AFNOR Certification sur la période 2006-2014, c’est Ecocert Environnement qui réalise depuis 2015 des audits de contrôle tous les ans.

Une interview à retrouver sur maisonsduvoyage.com

Depuis sa création, Allibert Trekking met un point d’honneur à s’inscrire dans  une démarche responsable. En 2008, l’agence a d’ailleurs obtenu le label ATR “Agir pour un Tourisme Responsable”, décerné par l’association du même nom, qui réunit depuis 2004 les tour-opérateurs soucieux de leur impact sur la planète et ses habitants.

Un article à retrouver sur lefigaro.fr

Chez Nomade Aventure, 100% des émissions de CO2 des voyages sont absorbées, via surtout des plantations de mangroves. Afin de réduire son empreinte carbone, l’entreprise, titulaire du label ATR depuis de nombreuses années, propose désormais à ses clients de partir en Europe en train plutôt qu’en avion (35 voyages proposés).

Un article à retrouver sur lechotouristique.com

Et dans la catégorie distribution, c’est  Kappa Club, premier TO club à avoir obtenu le label ATR, qui est en lice pour obtenir le trophée de l’innovation touristique. L’idée originelle ? Un showroom pour le concept Kappa Club de NG Travel, à destination des agents de voyages. L’atelier se positionne désormais comme un lieu collaboratif ouvert à tous les pros du secteur. C’est là qu’Agir pour un tourisme responsable organisera ses formations (en savoir plus).

Rapidement, la force des réseaux sociaux attire de nombreux acteurs du tourisme. Guillaume Linton (Asia), Jean-Pierre Pinheiro (Turismo de Portugal), Julien Buot (Agir pour un tourisme responsable), Adriana Minchella (Cediv) ou Lionel Rabiet (Croisières d’Exception) font par exemple partie des membres du groupe.

Un article à retrouver sur lechotouristique.com

Lire à ce sujet également l’article de Voyageons-Autrement.Com sur « les réseaux sociaux s’imposent comme des outils souples et démocratiques pour imaginer le tourisme de demain ».

Le tourisme responsable ne doit pas se résumer à une relocalisation des destinations, même si le coronavirus invite à accélérer la transition du tourisme vers des modes de production et de consommation plus durables.

Une tribune de Julien BUOT, Directeur d’ATR, à retrouver sur lechotouristique.com

Privilégiez les entreprises engagées. Si vous faîtes appel à un tour-opérator ou à une agence de voyage,  préférez ceux qui sont engagés dans une démarche de tourisme responsable. Il existe de nombreuses associations et réseaux tels qu’Agir pour un Tourisme Responsable (ATR). Un moyen pour vérifier leur sincérité. Les plus fiables sont les plus transparentes et affichent clairement leurs engagements, et leurs rapports d’activités de manière détaillée.

Un article à retrouver sur grands-reportages.com dans le dossier consacré au slow travel par le magazine Grands Reportages dans son numéro d’avril. Pendant le confinement les trois derniers numéros sont offerts !

« Il faut imaginer un meilleure valorisation des démarches volontaires des professionnels qui font la preuve de leurs engagements à travers des labels comme ATR »

Retrouvez l’interview de Julien BUOT, Directeur d’ATR, dans le dossier de Hug Magazine intitulé  « le tourisme est-il immortel? », en ligne sur hug-magazine.fr , en page 28-29-30 du numéro 36 d’avril 2020

« Les professionnels et les tour-opérateurs ont aussi une carte à jouer », estime Julien Buot, directeur du label Agir pour un tourisme responsable. Il salue l’arrivée sur le marché de ces nouveaux acteurs « Nous avons besoin que les voyageurs ne soient plus seulement que des consommateurs »

Un article à retrouver sur 20minutes.fr

Dans deux ans, Cheval d’aventure fêtera ses cinquante ans d’existence. Son dirigeant actuel Christophe Leservoisier fait perdurer l’esprit d’Anne Mariage en utilisant les outils modernes. Rencontre avec un passionné d’aventures équestres et humaines. En mars 2004, alors que j’avais déjà une activité dans le voyage avec Atalante, Continents insolites et Terra incognita, j’ai reçu un mail d’Anne Mariage, la fondatrice de Cheval d’aventure me demandant si je pouvais reprendre Cheval d’aventure. Elle savait que j’étais cavalier et engagé dans le tourisme responsable. L’association ATR venait d’être créée. Je lui ai répondu que j’étais intéressé et après quelques péripéties, nous nous sommes entendus et j’ai repris les rênes de Cheval d’aventure grâce à une transmission active.

Un article sur le fondateur d’Atalante, « héritier » de Cheval d’Aventure et premier Président d’ATR, à retrouver sur leperon.fr

Le label ATR est une récompense objective et indépendante des efforts faits par l’entreprise et son écosystème – les salariés, les fournisseurs, … – pour mener à bien une démarche de tourisme durable. Ensuite, entrer dans une démarche de certification par ATR fournit un cadre de travail, un cahier des charges qui permettent d’organiser les actions de RSE de l’entreprise. C’est un bon outil pour rester aussi exigeants avec nous-mêmes. Enfin, l’obtention du label nous oblige à adopter une démarche de renouvellement et d’amélioration continue, puisque la certification doit être reconduite chaque année. Et, comme nous voulons conserver ce label, nous suivrons les évolutions de l’association ATR.

Une interview à retrouver sur lechotouristique.com

A l’heure où un grand nombre de Tour Opérateurs français travaillent sur la mutation de leur engagement environnemental et sociétal avec ATR (Agir pour un Tourisme Responsable), il nous semble important de rappeler de ne pas céder à la tentation du pire.

Un article à retrouver sur tourmag.com

Le tourisme responsable ou écotourisme est une réelle tendance mais de nombreux labels garantissent les engagements des uns et des autres. Passage en revue de ceux auxquels on peut se fier les yeux fermés.

L’association Agir pour un tourisme responsable (ATR) propose depuis 2006 une certification devenue label audité par l’organisme indépendant Ecocert Environnement en 2014. Selon son directeur Julien Buot, ATR vise à «identifier, gérer et corriger l’impact négatif du tourisme pour optimiser son impact positif». Parmi les 42 indicateurs exigés pour l’obtention du label, on retrouve des critères pour une relation transparente, durable et solidaire avec les fournisseurs locaux ou bien la transmission d’informations sur le tourisme responsable pour sensibiliser les voyageurs aux us et coutumes locaux. De nouvelles exigences pour le climat sont intégrées depuis début 2020 afin de réduire le bilan carbone des activités internes du tour-opérateur. Selon Julien Buot, «d’ici 2023 le cahier des charges intégrera la compensation carbone des émissions de gaz à effet de serre liées aux transports en avion des employés pour ensuite s’étendre à ceux des voyageurs». Pionnier dans la réflexion autour du tourisme responsable et de la responsabilité des voyagistes, ATR est un label fiable et transparent.

Un article à retrouver sur lefigaro.fr

Kappa Club est devenu cet automne le premier tour-opérateur club labellisé ATR (Agir pour un Tourisme Responsable)

Olivier KERVELLA, son fondateur, a répondu aux questions du magazine Forbes. Extrait :

Enfin, l’éducation des voyageurs et leur sensibilisation est un élément-clé. Et qui de mieux que les acteurs du tourisme pour s’en charger ? C’est pour cette raison que nous allons lancer notre formation certifiante et dédiée aux agents de voyage (ainsi qu’à nos équipes), en partenariat avec l’ESCAET (Ecole Supérieur de Commerce spécialisée dans le Tourisme) et le label ATR, leur permettant d’avoir une vision globale du tourisme durable et des bonnes pratiques. A destination, nous proposons déjà des sorties pédagogiques dans des centres de préservation, des sorties à la découverte des diverses biosphères (à l’instar de la Somone, au Sénégal)… sans compter l’engouement des enfants pour notre Green Day, sorte de sessions de beach-cleaning organisées avec leurs parents et parfois aux côtés d’associations locales (comme Trash Hero à Krabi). La technologie peut d’ailleurs parfois y jouer son rôle, comme nous allons le prouver en installant des imprimantes 3D permettant de recycler et de transformer le plastique abandonné sur les rivages et les sentiers jouxtant nos Kappa Club.

Une interview à retrouver sur forbes.fr

A Saumur, certains étudiants en écotourisme craignent d’être recrutés par des entreprises voulant avant tout « reverdir » leur image à des fins de communication ou de marketing. Pour son stage, Marius, un des étudiants, devra aider un grand groupe de tour-opérateur à décrocher un label baptisé Agir pour un tourisme responsable. « J’espère que ce n’est pas du green washing… », souffle-t-il. Travailler ou non dans ce genre d’entreprise : le débat divise la classe de licence. Le secteur est traversé par de multiples contradictions, reconnaît Stéphen. « Par exemple, peut-on prendre l’avion pour aller faire de l’écotourisme en Afrique ? En fait, c’est compliqué d’avoir des valeurs quand on doit s’intégrer dans une économie de marché. »

Un article à retrouver sur lemonde.fr

Pour l’édition 2020, ce sont l’UMIH (Union des Métiers et des Industries de l’Hôtellerie), ATR (Agir pour un Tourisme Responsable) et ATOUT France qui ont rejoint les rangs de la cause du tourisme durable et responsable.

Un article à retrouver sur tourmag.com

Et pour vous adresser à un opérateur de voyage soucieux de préserver la planète et ses habitants, fiez-vous au label ATR (Agir pour un tourisme responsable) qui évalue et certifie les bonnes pratiques sociales et environnementales.

Un article à retrouver sur femmeactuelle.fr

Et pour fédérer les professionnels du secteur, l’association ATR (Agir pour un tourisme responsable) délivre un label du même nom qui scrute la transparence des agences sur leurs pratiques, les partenariats qu’elles mettent en place, et la cohérence de leurs démarches green.

Un article à retrouver sur ladn.eu

Le TO, qui avait publié en octobre un manifeste pour un tourisme durable, rappelle avoir placé l’humain au cœur de ses clubs, eux-mêmes tournés vers « le partage, l’authenticité et la rencontre ». En septembre dernier, il annonçait d’ailleurs avoir obtenu la labellisation ATR (Agir pour un Tourisme Responsable).

Un article à retrouver sur tourhebdo.com

La marque, qui envoie chaque année 45 000 personnes à travers le monde, génére 88 000 tonnes de gaz à effet de serre. Après l’annonce de la compensation de 100% des émissions carbone de ses voyageurs et de salariés d’ici à cinq ans, et après l’obtention du label ATR, Kappa fait donc un pas de plus vers une activité plus durable. Concrètement, la marque a créé son propre fonds de dotation, « Kappa Club Terres de Demain ». Il collaborera étroitement avec Insolite Bâtisseur Philippe Romero Fondation, le fonds de dotation de Voyageurs du Monde.

Un article à retrouver sur lechotouristique.com

En effet, le voyagiste breton est labellisé ATR depuis 2018 et s’est engagé à compenser son empreinte carbone administrative dès 2020 et la totalité de son empreinte environnementale à partir de 2025. « Je ne suis évidemment pas de ceux qui préconisent de ne plus prendre l’avion, indique Michel Salaün, président du groupe dans un communiqué.

Un article à retrouver sur tourmag.com

Agir pour un Tourisme Responsable est l’association référente pour valoriser le tourisme durable. Elle est aussi celle qui porte le label Ecorcert réunissant les acteurs du secteur. Comment fonctionne ce label, quelle valeur a-t-il ? on vous explique tout.

Un article à retrouver sur tourmag.com

ATR, ATD, ATES, des sigles et des hommes. En France, deux organismes fédérateurs font figures de pilote, et un troisième apporte sa contribution au débat et aux initiatives.

Un article à retrouver sur tourhebdo.com

Et quand on pose la question de savoir si le fait d’afficher le label ATR a joué un rôle dans le choix du TO, la réponse grandit un peu plus chaque année. Il est satisfaisant de constater que l’on ne travaille pas pour rien.

Un article à retrouver sur tourhebdo.com

Le tourisme compte beaucoup sur la compensation carbone. Bien que nécessaire, celle-ci est parfois inutile voire contre-productive. C’est en tout cas le message de l’ONU Environnement. Pour la pratiquer dans les règles, ATR (Agir pour un tourisme responsable) a intégré l’obligation pour ses labellisés en proposant 3 acteurs solidaires et responsables.

Un article à retrouver sur tourmag.com

Le 30 janvier, Julien BUOT, Directeur d’ATR, était l’invité de Mathieu VIDARD, animateur de l’émission La Terre au Carré sur France Inter.

> Réécouter l’émission

> Réécouter l’édito de Mathieu VIDARD sur le tourisme responsable dans le 7-9

> 1er extrait du Facebook live

> 2e extrait du Facebook live

La brochure s’inscrit dans la volonté manifeste de Salaün Holidays de traduire de manière concrète son appartenance à l’association Agir pour un Tourisme Responsable. Elle a valeur de test pour envisager une éventuelle extension dans les prochaines saisons.

Un article à retrouver sur quotidiendutourisme.com

Depuis trois ans aussi, le Groupe TTMG en partenariat avec Acteurs du Tourisme Durable (ATD), a lancé la 1ère édition des « Palmes du tourisme durable » événement qui vise à récompenser les initiatives des professionnels en matière de tourisme durable. Depuis, d’autres partenaires institutionnels nous ont rejoint : MEAE, ATR, l’UMIH, la CAT et Atout France.

Un article à retrouver sur tourmag.com

Une table ronde était consacrée à la question du voyage dans le contexte de l’urgence climatique, animée par Pierre Bigorgne (journaliste et grand reporter) réunissant Vincent Fonvieille (La Balaguère), Emmanuel Goy (Negawatt), Isabelle Autissier (l’illustre navigatrice) et Geneviève Clastres (Voyageons-autrement.com). L’occasion de revenir sur la compensation carbone, sur les engagements de réseaux tels ATR que dirige Vincent Fonvieille, mais aussi, d’imaginer d’autres voyages, d’autres modèles, avec l’envie de montrer des exemples vertueux mais aussi, d’expliquer qu’il ne faut pas se tromper de cible, que le voyage, lorsqu’il est fait et conçu avec cœur et raison, reste un formidable moyen de relier les hommes entre eux.

Un article à retrouver sur voyageons-autrement.com

La prise de conscience des individus et des entreprises qui est passée du stade de l’indifférence à celui de l’inquiétude et enfin de l’action, a duré plus de 20 ans. Des initiatives fédératrices, comme celles d’ATR ou de l’événement « Les Palmes du Tourisme Durable » organisé par TourMaG.com et ATD, ont permis de maintenir une actualité durable et de gagner jour après jour des acteurs à cette cause.

Une chronique de Christian OROFINO à retrouver sur tourmag.com 

Premier TO club à arborer le label Agir pour un Tourisme Responsable, Kappa poursuit son travail de différenciation en misant plus que jamais sur la découverte et l’humain. Kappa Club marque un grand coup en annonçant avoir obtenu le 23 septembre dernier la labellisation ATR. Concrètement, Kappa Club met en avant une liste de 8 engagements. En premier lieu, il absorbera d’ici à 4 ans et par palier annuel de 25%,  100%  des émissions carbone de ses voyageurs.

Un article à retrouver sur tourhebdo.com

Kappa Club vient de décrocher sa labellisation ATR (Agir pour un Tourisme Responsable) décerné par Ecocert Environnement. Ce label s’appuie sur 3 axes : transparence, partenariat et cohérence qui sont déclinés en seize critères. Parmi eux : informer les clients sur les bonnes pratiques du Tourisme Responsable, identifier des prestataires prioritaires, diminuer son impact environnemental ou encore agir sur le plan social.

Un article à retrouver sur tourmag.com

“Transparence, partenariat et cohérence sont les trois axes du label ATR, décliné en seize critères », détaille ATR sur son site. Il est destiné à tous les opérateurs de voyage qui souhaitent structurer et faire reconnaître leur engagement dans le tourisme responsable.” Dont acte pour Kappa Club, qui devient ainsi le premier TO Club à obtenir le label.

“En nous engageant au sein du label ATR (décerné par Ecocert Environnement, organisme d’audit indépendant), nous concrétisons ainsi cette volonté de rendre notre métier encore plus beau qu’il ne l’est déjà », souligne la direction de Kappa Club dans un communiqué.

Un article à retrouver sur lechotouristique.com

Mais parce que la planète n’attendra pas 50 ans, il faut se résoudre à trouver des solutions dès à présent qui, si elles ne sont pas miraculeuses, sont déjà des débuts de réponse. C’est donc le cas de la contribution planète mais aussi, celui des voyagistes membres d’ATR (Agir pour un Tourisme Responsable) qui s’engagent à compenser l’ensemble des émissions carbones administratives d’ici 2020 et toutes les émissions commerciales d’ici 2025. Guillaume Cromer : « A ATR, mais aussi à l’ATES, et plus globalement à ATD, l’ensemble du secteur du tourisme a conscience qu’il faut se bouger et de nombreux acteurs se sont déjà fortement engagés. L’Ademe est également en train de finaliser une étude pour préconiser une stratégie française sur le tourisme. »

Un article à retrouver sur voyageons-autrement.com

A l’occasion du Salon Top Resa dédié aux professionnels du tourisme, qui ouvre le 1er octobre, Salaün Holidays, la marque phare du voyagiste éponyme, va révéler ses dernières actions pour compenser son empreinte carbone, une préoccupation devenue majeure dans ce secteur. L’entreprise contribue à produire 70.200 tonnes de CO2, dont 2.400 liées à des émissions dites « administratives » et 67.800  dites « commerciales ». Dans le cadre de son label ATR (Agir pour un tourisme responsable), le tour-opérateur ambitionne d’afficher une empreinte neutre dès l’an prochain, avec l’aide de son partenaire Air France qui assure 70 % de ses vols (générant 45.000 tonnes de CO2) et de ses prestataires dans les pays où il est le plus présent comme le Vietnam, l’Inde, la Russie…

Un article à retrouver sur lesechos.fr

C’est en trois étapes que les voyagistes labellisés Agir pour un tourisme responsable (ATR) vont devoir compenser toutes leurs émissions de CO2. Les entreprises prétendant au label devront compenser toutes leurs émissions de CO2 à travers des projets de solidarité climatique, sur 100% des émissions de CO2 des salariés à partir de 2020, 50% des émissions liées au transport des voyageurs en 2023, en attendant les 100% à partir de 2025.

Un article à retrouver sur lechotouristique.com

Alors que le gouvernement vient de nommer son nouveau ministre de la transition écologique en la personne de François de Rugy, Julien Buot directeur de l’association (et du label) Agir pour un Tourisme Responsable se demande comment concilier tourisme durable et développement économique. Pour lui, les grands par la taille peuvent être grands par la pratique et grands par l’impact tout comme les petits par la taille peuvent être petits par l’impact et petits par la pratique.

Une tribune à retrouver sur tourmag.com

Dans le cadre de la Semaine Européenne du Développement Durable du 30 mai au 5 juin 2018 et de la Journée Mondiale pour un Tourisme Responsable le 2 juin 2018, TourMaG s’engage. Aujourd’hui, nous avons demandé à Julien Buot, directeur de l’association Agir pour un Tourisme Responsable (ATR) quel était son regard sur le tourisme et où en étaient les Tour-Opérateurs… Et leurs partenaires.

Une interview à retrouver sur tourmag.com

Julien Buot, directeur de l’association ATR (Agir pour un tourisme responsable) était l’invité de « Pour un Monde Meilleur », l’émission créée par Emilie Kovacs la fondatrice d’EKOPO et modérée par la journaliste Nathalie Croisé. A quelques mois des grandes vacances, quel bilan faire du tourisme responsable en France et dans le monde ?

Une émission à retrouver sur ekopo.fr

Les adeptes du tourisme responsable doivent apprendre à séparer le bon grain de l’ivraie. La faute au greenwashing qui perdure dans le secteur. Heureusement, depuis quelques années émerge un tourisme responsable, durable, solidaire, participatif, équitable. Selon l’association Agir pour un tourisme responsable (ATR), qui décerne le label du même nom, «il s’agit de limiter les aspects négatifs et de maximiser les retombées positives pour le pays d’accueil et ses habitants».

Un dossier à retrouver sur capital.fr et dans le hors série du magazine sur « la folie du business vert et en comment en profiter soi-même »

De plus en plus de voyagistes adhèrent aux différents labels et s’intéressent à des problématiques environnementales ; et les agences de voyages, dernier maillon entre les pros et le client final, intéressent de plus en plus les organismes comme ATR.  Bref, le tourisme durable rejoint les préoccupations des grands tour-opérateurs qui l’intègrent de plus en plus dans leurs stratégies.

A retrouver sur tourmag.com

Le tourisme responsable au Bénin était à l’honneur du journal télévisé de France 2 le 13 avril, avec les témoignages des membres de la famille Florentin en voyage en immersion grâce à Double Sens et ses partenaires.

A retrouver sur doublesens.fr

L’émission Circuit Court s’est intéressée au tourisme responsable, en invitant notamment Aurélien SEUX, co-fondateur de l’agence de voyages Double Sens, membre de l’association Agir pour un Tourisme Responsable et titulaire du label ATR depuis 2016.

Une émission à retrouver sur europe1.fr

C’est donc dans cet élan que sont apparus les premiers labels, normes, et certifications dans le tourisme. Un des premiers à avoir été créé pour les voyageurs est le réseau Agir pour un tourisme responsable (ATR), en 2002, d’abord réservé au tourisme d’aventure. Pour Julien Buot, directeur de l’organisation, la question cruciale a toujours été : “comment assurer aux clients le sérieux de leur démarche tout en gérant une communication pour des publics très hétérogènes ?

Un dossier à retrouver sur lenouveleconomiste.fr

Voyageurs du Monde s’engage également dans plusieurs associations d’aide humanitaire et de défense des droits de l’homme et fait respecter une équité au sein de ses filiales à travers le monde, gagnant de fait, la certification « Agir pour un Tourisme Responsable » qui récompense les entreprises participant à la promotion du respect des régions et des populations visitées.

A retrouver sur bfmtv.com

Cette journée s’inscrit également pendant la Semaine Européenne du Développement Durable (#SEDD). Les acteurs du tourisme responsable sont invités à organiser des événements et communiquer sur les actions qu’ils mènent au quotidien pour un tourisme respectueux de la planète et de ses habitants.

Un article à retrouver sur quotidiendutourisme.com

Née en 2004, Agir pour un tourisme responsable (ATR) attire de plus en plus de tour-opérateurs, dont des généralistes, préoccupés par les questions de développement durable. Maintenant, l’association aimerait labelliser des distributeurs et des agences réceptives.

Un article à retrouver sur tourmag.com

« Chacun de mes voyages m’a permis de connaître d’autres cultures et d’autres sociétés ainsi que d’autres façons de voir le monde, et je trouve que c’est très enrichissant », dit Lionel Messi, footballeur argentin du FC Barcelone qui a remporté le ballon d’or à cinq reprises, cité dans le communiqué de l’Organisation Mondiale du Tourisme.

Un article à retrouver sur lesechos.fr

Aujourd’hui ATR compte 30 membres. De plus en plus de TO généralistes ont rejoint l’association comme le Club Med, Kuoni, Look Voyages, Transat, Voyageurs du Monde ou Salaün. Kuoni par exemple, est présent depuis un an parce que «notre actif le plus précieux, ce sont nos destinations» explique Charles de Vivie, DRH du TO. Avec ATR, il a découvert « une communauté vivante, entraînante et dynamique ».

Un article à retrouver sur quotidiendutourisme.com

L’émission de France Culture  » Les Nouvelles de l’Eco » a été consacrée pendant une semaine au thème des voyages, en abordant plusieurs fois le thème du tourisme responsable et en reprenant la formule chère à ATR du  « tourisme à visage humain ».

Retrouver les podcasts de ces émissions sur franceculture.fr

Scanditours, la marque spécialiste des pays nordiques, et Celtictours, qui concentre son activité dans les pays celtiques, adhèrent à l’association Agir pour un tourisme responsable (ATR). Après Les Ateliers du Voyage en 2016, ce sont les deuxième et troisième marques du groupe Travel Lab, racheté récemment par l’allemand Der Touristik, qui rejoignent les 30 autres voyagistes engagés dans l’association.

Un article à retrouver sur lechotouristique.com

« L’enjeu principal est de sensibiliser à la fois les professionnels et les consommateurs de voyages et de susciter leur intérêt pour des formules responsables, respectueuses de l’environnement et des habitants. L’un de nos objectifs et de partager avec le plus grand nombre ces initiatives concrètes et duplicables » déclare Julien Buot Secrétaire d’ATD (et directeur de l’association Agir pour un Tourisme Responsable (ATR).

Un article à retrouver sur tourmag.com

Télématin (France 2) rappelle que le tourisme responsable devient une exigence pour 2/3 des voyageurs français.

Un reportage à retrouver sur francetvinfo.fr

Les 1001 façons de faire du tourisme durable. Sur le site internet d’ATR, il y a bien plus que la Charte éthique du Voyageur. Dans la rubrique “conseils aux voyageurs”, on trouve une mine d’infos et de recommandations. Selon Julien Buot, l’avenir de la Charte éthique du Voyageur est qu’elle serve véritablement au bénéfice de l’expérience du client. Il nous rappelle une chose essentielle, qu’il a d’ailleurs exprimée dans la dernière newsletter d’ATD, “Revenir à l’essence même du voyage et faire comprendre au touriste que de son comportement dépend la qualité de son expérience de voyageur. Tourisme sans conscience n’est que ruine du voyage.” On pourrait imaginer dans l’avenir faire réagir les voyageurs, qu’ils puissent donner leurs idées et participer à une sorte de laboratoire.

Voici un extrait du catalogue de l’édition 2018 du salon mondial du tourisme de Paris, à retrouver sur ce lien.

D’abord spécialiste des Pyrénées où il est implanté, dans un village de 700 habitants, Arrens-Marsous, puis depuis 1997 à travers les 5 continents. Aujourd’hui, le TO certifié Agir pour un tourisme responsable (ATR), affiche plus de 800 destinations.  En 2017, il a fait marcher plus de 13 500 randonneurs, un chiffre en hausse de 0,5% par rapport à 2016. Et affiche un chiffre d’affaires de 13 478€, soit 3,38% de plus qu’en 2016.

Un article à retrouver sur tourmag.com

Terres d’aventure recrute de manière régulière sur des postes de vente ou de chargé de produit. Eric Balian, directeur général de Terres d’aventure s’entretient avec TourMaG.com sur la stratégie de recrutement et les offres du tour-opérateur.

Extrait : « Nous communiquons sur la marque, il y a un attrait pour les valeurs que nous véhiculons. Pour rappel, nous sommes membres fondateurs de Agir pour un tourisme responsable (ATR). Nous avons choisi de compenser à 100% les émissions de carbone de nos clients et salariés. Enfin, nous avons créé une fondation, « Insolites bâtisseurs », pour développer des programmes d’aide aux pays en développement. »

Un article à retrouver sur tourmag.com

Le Quotidien du Tourisme organisait un débat sur le tourisme responsable, avec Clémentine Concas (groupe Barrière), Julien Buot  (ATR), Laetitia Laurent (Club Med), Loïc Minvielle (Comptoir des Voyages), Charles de Vivie (groupe Kuoni France), Christian Orofino (Salaün Holidays) et Roch Guilabert (Prony Voyages).

Julien Buot (ATR) explique : « Les acteurs radicaux ne font voyager que quelques milliers de clients, je préfère que toute l’industrie fasse un petit effort, voire un gros effort plutôt qu’une petite niche en face de gros ».

Un premier article de présentation du débat, à retrouver sur quotidiendutourisme.com.

… et il est des sites où même 10 000 touristes par jour peuvent être accueillis de façon responsable !

Retrouvez le podcast de l’entretien de 8e Etage avec Julien BUOT, Directeur d’ATR sur 8e-etage.fr

Pour Jean-Pierre Nadir, qui loue les efforts d’Agir pour un tourisme responsable (ATR), il faut que les pros du tourisme s’engagent vraiment.

Un article à retrouver sur lechotouristique.com

66% des Français pensent que le tourisme responsable/éthique est indispensable, notamment pour respecter le patrimoine social et environnemental des pays visités.

Un article à retrouver sur le quotidiendutourisme.com.

Une étude menée par Easyvoyage montre l’intérêt des Français pour un tourisme plus respectueux de son environnement.

Un article et une étude à retrouver lechotouristique.com.

Cette démarche préfigure aussi un changement de cap inéluctable du tourisme dans les prochaines décennies, et il est important pour les professionnels français d’anticiper ce mouvement en adhérant aux réflexions et à la mise en place d’un tourisme durable proposé par exemple par ATR (Agir pour un Tourisme Responsable), association que des TO généralistes ont déjà rejointe comme Voyageurs du Monde, Salaün Holidays, le Club Med, Kuoni , Transat….  Le développement durable n’est plus une option et la transition écologique n’est pas un recul mais une opportunité pour le renouvellement des offres.

Retrouvez l’intégralité de la chronique de Christian OROFINO sur tourmag.com

Les belles histoires sont toujours agréables à conter, encore plus lorsqu’elles sont à l’origine d’un engagement sérieux pour le tourisme responsable. De la sensibilisation de quelques randonneurs à celle d’un plus large public, retour sur un texte fondateur.

Un article à retrouver sur voyageons-autrement.com

Avec ses 82 circuits et ses 27 escapades répartis sur cinq continents et dans la continuité de son programme de développement durable, le Club Med a obtenu le label ATR « Agir pour un Tourisme Durable » pour les « Circuits Découverte by Club Med ».

Un article à retrouver sur quotidiendutourisme.com

2017 terminé, le chapitre de l’année du tourisme durable pour le développement déclarée par les Nations Unies se referme. Les bons gestes pour voyager responsable ne doivent pas être jetés aux oubliettes pour autant.. C’est le moment de faire perdurer les bonnes habitudes. Voici les trois plus faciles à adopter, comme opter pour un partenaire de voyage engagé à travers le label ATR, choisi par grandes structures connues comme Voyageurs du monde, La Balaguère ou Terres d’Aventure.

Un article à retrouver sur leprogres.fr

Pour la fin d’année, TourMaG.com a demandé à des professionnels du tourisme quel regard ils portaient sur l’année écoulée et quelles étaient leurs attentes pour l’année 2018. Aujourd’hui, Julien Buot, directeur d’Agir pour un Tourisme Responsable (ATR) nous parle de son année 2017 et de ses attentes pour 2018.

Un article à retrouver sur tourmag.com

Il fait gris, il fait froid. Et peut-être rêver vous de voyages pour reprendre des couleurs. Des séjours qui soient aussi l’occasion de vraies rencontres et de découvertes, grâce notamment au tourisme durable. L’ONU en a d’ailleurs fait l’une de ses grandes causes pour 2017. Une notion qui implique respect de l’environnement, des cultures et des modes de vie locaux. Depuis une vingtaine d’années, cette forme de voyage séduit de plus en plus d’adeptes. Mais à qui se fier ? Comment encourager aussi son développement auprès des grands tours opérateurs ? C’est ce que veut promouvoir depuis 2004 l’association ATR, Agir pour un tourisme responsable.

Le deuxième forum de l’APST en collaboration avec BFM Business s’est tenu le 28 novembre dernier à Rennes au restaurant le Mabilay et avait pour thème « Impact des changements climatiques sur les destinations touristiques et le comportement des vacanciers ». Fabrice Lundy, présentateur de BFM Business, animait cette soirée entouré de Nicolas Imbert, Directeur de GreenCross et de Julien Buot, Directeur d’ATR (Agir pour un Tourisme Responsable).

Un article à retrouver sur laquotidienne.fr

Au delà de la reconnaissance de sa démarche, la labellisation ATR impose à Grand Angle de poursuivre les efforts de sensibilisation au tourisme responsable.

Un article à retrouver sur tourmag.com

A l’occasion des journées des entrepreneurs du voyage organisés à Lille du 22 au 24 novembre, Julien Buot, Directeur de l’association Agir pour un Tourisme Responsable (ATR) a annoncé que 2018 sera l’année du tourisme responsable pour les agences de voyage, avec notamment plusieurs formations destinées à présenter les nombreuses opportunités offertes par le label ATR.

Un article à retrouver sur laquotidienne.fr

Une émission à retrouver sur rcf.fr

L’association ATR (Agir pour un Tourisme Responsable) organisera une nouvelle session de formation sur le tourisme responsable les 15 et 16 novembre 2017 à la Maison du Tourisme avenue Carnot à Paris en partenariat avec TravelProFormations, l’organisme de formation des Entreprises Du Voyage (EDV) et de l’Association Professionnelle de Solidarité du Tourisme (APST).

Un article à retrouver sur tourmag.com

Depuis quelques années ATR a mis cette expérience de tourisme durable à la disposition de l’ensemble des professionnels du voyage et a ouvert ses portes à une grande diversité d’entreprises en leur proposant un label plus adapté au profil de leur production.

Un article à retrouver sur LaQuotidienne.fr

Un des enjeux importants est celui du changement d’échelle avec l’arrivée au sein d’ATR d’opérateurs généralistes comme Salaün et de distributeurs comme les membres du CEDIV. En 3 ans, le nombre consolidé de voyageurs partants avec les membres d’ATR est passé de 200 000 à plus d’un million, et ce n’est qu’un début.

Un article à retrouver sur Tourmag.com

Un statut d’ambassadeur ATR pourrait être proposé aux agents de voyages désireux d’accompagner les TO labellisés dans cette démarche de tourisme durable.

Un article à retrouver sur Quotidiendutourisme.com

A l’occasion de la journée mondiale du tourisme, France O a consacré une émission au voyage responsable le 27 septembre.

Avec au  programme :

• une grande discussion sur le rôle des voyageurs, les labels, …
• un reportage sur Double Sens (voyagiste labellisé ATR) aux Galapagos

A retrouver sur France.tv (notamment à partir de la 27e puis de la 43e minute)

« Il faut repenser l’offre et présenter aux touristes les avantages de visiter un site au lever ou au coucher du soleil plutôt que durant la journée. Promouvoir des manifestations qui se tiennent hors saisons, mettre en avant l’attractivité des zones moins touristiques…  » indique Julien BUOT, Directeur d’ATR.  Ce tourisme plus diffus permettrait de limiter la saturation de certaines régions et sites aujourd’hui en danger, et de répartir l’intérêt touristique sur l’ensemble des destinations et sur les différentes périodes de l’année, œuvrant ainsi à toujours nourrir la curiosité du voyageur tout en préservant l’authenticité d’un lieu, d’une culture et d’un savoir-faire.

Un article à retrouver sur Tourmag.com dans son dossier « Nouvelles frontières nouveaux défis ».

L’association ATR a interrogé plus de 7 000 voyageurs sur leur perception du tourisme durable. Si quelques clichés demeurent, la sensibilité du grand public pour le développement durable évolue.

Un article à retrouver sur Tourhebdo.com

France Inter met le tourisme responsable et le label ATR à l’honneur, avec comme invités de l’émission Téléphone Sonne du 21 août 2017 : Vincent FONVEILLE, Président d’ATR, PDG de La Balaguère, et Christian OROFINO, en charge du tourisme durable chez Salaun Holidays.

Une émission à podcaster sur ce lien : franceinter.fr

Pour faire le tri, le label ATR, Agir pour un Tourisme Responsable, fédère des opérateurs de voyage qui prennent en compte le développement durable dans leurs activités.

A retrouver sur ouest-france.fr

Membre de l’association Acteurs du tourisme durable (ATD) et du réseau Agir pour un Tourisme Responsable (ATR) (label contrôlé par ECOCERT environnement et muni d’une charte voyageur), Double Sens fait appel à une société spécialisée pour mesurer ses émissions carbone. Pour chacune de ses destinations, un voyageur implique l’émission de trois tonnes de carbone en moyenne. “Pour contrebalancer cette émission, il faut financer des projets à hauteur de 50 € par voyageur”, précise Aurélien Seux.

Extrait d’un article consacré par le magazine Kaizen à Double Sens

Depuis 2004 et la naissance d’ATR (agir pour un tourisme responsable), des initiatives sont régulièrement prises par les professionnels du secteur pour mieux gérer les déplacements, diminuer l’impact négatif des voyages et soutenir le tourisme de demain.

A retrouver sur Liberation.fr

Le tourisme « labellisé » offre des garanties avérées à l’ image du label « Tourisme Responsable Certifié » conçu par ATR, encadré par le Code de la consommation, certifié (Ecocert), et scruté par la DGCCRF. Le label ATR est décliné en 16 criteres, il s’appuie sur trois axes : transparence, partenariat et cohérence. Huit operateurs membres, parmi lesquels Chamina voyages, Terres d’aventure, Les Ateliers du voyage, etc. sont aujourd’hui labellisés. Six sont en attente de l’être.

Murielle Nouchy reçoit à sa table : Alain Capestan , Directeur Général du Groupe Voyageurs du Monde, Emmanuel Foiry, président du groupe Kuoni France, Christian Orofino, Conseiller spécial auprès du groupe Salaün et  Julien Buot, Directeur d’Agir pour un Tourisme Responsable (ATR).

A découvrir sur LaQuotidienne.fr

Près de 20 professionnels du voyage ont répondu présent et ont bénéficié d’une présentation du label ATR et de la plateforme Travelife. Ils ont été accueillis dans le jardin du Solar Hôtel, premier hôtel écologique, économique et militant de Paris.

A retrouver sur TourMag.com

2017 a été proclamée par l’ONU année internationale du tourisme durable. L’approche de l’été est l’occasion de faire un petit éclaircissement sur les principaux labels liés au tourisme responsable et durable. Découvrez notre guide des labels.

7 labels à privilégier pour le tourisme responsable. Un seul concerne les voyagistes : Agir pour un Tourisme Responsable.

Un article à retrouver sur Consoglobe.com

L’association Agir pour un Tourisme Responsable (ATR) propose un label aux entreprises du voyage qui souhaitent ne pas scier la branche sur laquelle elles sont assises : un environnement naturel, culturel et humain préservé ainsi qu’un contexte économique et social favorable à la paix et au développement.

Un article à retrouver sur Cdurable.info

Organiser vous-même vos vacances vous ennuie mais vous souhaitez quand même faire attention et privilégier le tourisme durable ? C’est possible. Les acteurs du tourisme s’engagent de plus en plus dans cette voie. Plusieurs labels existent pour s’y retrouver  comme le label ATR.

Un article à retrouver sur EasyVoyage.com

Depuis 2007, chaque 2 juin, le tourisme responsable est à l’honneur. Les Nations Unies ont également déclaré 2017 année internationale du tourisme durable pour le développement. Dans ce cadre, ATR partage les actions menées par ses membres le 2 juin 2017, journée mondiale pour un tourisme responsable.

Un article à retrouver sur Tourisme-durable.org 

Le tourisme durable est un levier de la satisfaction client selon Julien BUOT, Directeur d’ATR, partenaire d’Air France qui réunit les voyagistes les plus engagés dans le domaine et leur délivre un label. Par leur activité, les tour-opérateurs ont un rôle clé à jouer pour favoriser le développement du tourisme durable.

Extrait de l’interview donnée à la revue Accent en parralèle du dossier consacré au tourisme durable par Air France Magazine.

À l’occasion de l’Année internationale du tourisme durable pour le développement, le point en chiffres sur cette offre.

20 = le nombre de membre de l’association ATR. Créée en 2004, l’association Agir pour un tourisme responsable est la première association française rassemblant les acteurs du voyage responsable.

Protéger la planète, c’est aussi voyager plus responsable. Avions et transports terrestres ou maritimes, mais aussi séjours à l’hôtel ou repas au restaurant contribuent à l’émission de gaz à effet de serre. Conscients du phénomène, de plus en plus de Français, souhaitent réduire leur empreinte carbone, y compris en vacances !

A retrouver sur mag.casden.fr

Les trekkeurs en haute altitude sous assistance grâce à l’IFREMONT

« Nous sommes tous des amoureux de la montagne et médecins urgentistes de formation », explique le praticien chamoniard qui travaille depuis cinq ans, notamment grâce à de l’Union européenne, à la réalisation de ce projet. Pas simple à équilibrer sur le plan financier, l’opération tient notamment grâce un contrat signé avec l’association Agir pour un tourisme responsable (ATR), qui regroupe notamment 4 quatre voyagistes spécialisés dans l’organisation de treks (Allibert, Terres d’aventure, Tirawa, et Nomade).

En 2016, Salaün Holidays a adhéré à ATR, « Agir pour un Tourisme Responsable. Cet organisme regroupe les plus grands voyagistes français qui ont décidé de construire leurs circuits en appliquant 16 lègles concernant le respect des clients, des collaborateurs, des partenaires et des hôtes visités.

Ainsi, La Balaguère constate que son engagement en faveur du tourisme durable (Vincent Fonvieille préside le collectif ATR qui rassemble une vingtaine de voyagistes) est un atout décisif pour beaucoup de ses clients. Elle remarque aussi que son public vieillit d’un an en moyenne chaque année: « La majorité ont entre 55 et 65 ans, note Vincent Fonvieille, ils veulent marcher chaque jour, mais ils veulent des étapes adaptées ». Et comme ils ont « besoin de sens », cherchent toujours « à apprendre quelque chose, à être utiles, à être en harmonie avec l’environnement » , « sans oublier de se faire du bien à eux mêmes », La Balaguère développe des rando yoga, des rando philo, etc. Elle propose aussi un circuit en Indonésie en lien avec une ONG qui se bat contre la disparition d’une espèce endémique de buffle !

A retrouver sur voyage.blogs.la-croix.com

Il est important de responsabiliser tous les acteurs : les pays d’accueil, les tours opérateurs, les agences, les hôtels mais aussi les touristes, eux-mêmes. Ils sont de plus en plus nombreux à être conscients de cette évolution indispensable et en France, ils sont réunis au sein d’associations comme ATR (Agir pour un Tourisme Responsable) et ATD (Acteurs du Tourisme Durable). Des labels existent qui garantissant que votre voyage ou votre séjour est bien éco responsable et durable, comme celui d’ATR. Et puis pour ne pas se tromper, on peut sans hésiter aller naviguer sur des sites qui proposent des séjours écologiques et solidaires dans le monde entier.

A retrouver sur Neoplanete.fr

Et le tourisme durable ? Sûrement pas un vain mot dans la bouche de Vincent Fonvieille, à se demander d’ailleurs si ce n’est pas l’un des secrets de l’incroyable longévité de son entreprise. Fort de son ancrage en montagne, le respect de l’environnement sonne presque comme un réflexe. Il va de pair avec le respect des populations visitées et le souci du territoire, des territoires…  En outre, dans les années 2 000, La Balaguère participe à la création du réseau ATR, dont Vincent Fonvieille est aujourd’hui président. « Si pour nous le respect de l’environnement sonnait comme une évidence, ATR nous a beaucoup aidé à progresser sur les champs du social, du sociétal. Car si on veut que toute la chaine soit vertueuse, de nos bureaux jusqu’au chamelier, il faut vraiment engager des procédures et la certification AFNOR des débuts nous a vraiment poussé, même si elle a demandé beaucoup de travail. Après, nous souhaiterions aller plus loin sur certains engagements mais nous n’en avons pas toujours les moyens. Je m’interroge aussi sur la question des GES. On en est à peine au stade de la prise de conscience. Il reste beaucoup à faire et il faut sans cesse se remettre en question… »

Interview à retrouver sur Voyageons-Autrement.Com

Il est possible de sortir des sentiers battus à Venise, et ailleurs.

Retrouvez l’interview de Julien BUOT pour France Info.

 

Le comité de suivi du label se réunira prochainement pour faire le point sur la nouvelle génération d’un label décliné en 16 critères et répartis en trois axes : la transparence avec les clients, le partenariat avec les prestataires et la cohérence avec les équipes.  Prochaines étapes : la mise en place d’audits dans les destinations, l’accueil de nouveaux membres et le développement d’actions collectives à travers une mutualisation des bonnes pratiques, dans le cadre de l’année internationale du tourisme durable pour le développement et de la journée mondiale pour un tourisme responsable le 2 juin prochain…

A retrouver sur Voyageons-Autrement.Com

 Voici des sites que je vous invite à découvrir pour en savoir plus sur les destinations éco responsables, les moyens de devenir éco-citoyens… ATES (Association pour le tourisme équitable et solidaire) et ATR (Agir pour un tourisme responsable).

A retrouver sur Voyagesetenfants.com

L’organisation des Nations Unies a choisi de rendre hommage à la myriade d’entrepreneurs, d’entreprises, d’individus créatifs ainsi qu’aux collectivités en faisant de 2017 l’année internationale du tourisme durable pour le développement. Cela signifie que, tout au long de 2017, des activités et des initiatives impliquant l’ensemble acteurs du tourisme rendront hommage au pouvoir de transformation du tourisme pour un monde plus propre et plus vert, plus égalitaire et ne laissant personne de côté.

A retrouver sur huffingtonpost.fr

Avec le regard aiguisé de cinq acteurs du tourisme durable : Randopays, Double Sens, le camping de la Fontaine du Hallate dans le Morbihan, le site Visit.org basé a New York et le réseau ATR (Agir pour un tourisme responsable), nous vous proposons de choisir les pratiques à adopter lors de vos prochains congés.

Dossier et interview de Julien BUOT, Directeur d’ATR, à retrouver sur lavie.fr

Entre écologie et solidarité, l’ONU fait de 2017 l’année internationale du tourisme durable. Une quête de sens qui séduit toujours plus de voyageurs, les familles aussi. Décryptage et inspirations pour une vraie aventure. A commencer par lire la Charte éthique du voyageur proposée par ATR.

Les Nations Unies avaient déjà « consacré » le tourisme à deux reprises. La première fois en 1967, 20 ans après la deuxième guerre mondiale et la création de l’ONU, avec comme slogan « tourisme passeport pour la paix ». La deuxième fois en 2002, année internationale de l’écotourisme, la même année que le sommet de la Terre de Jonnahesbourg, où le tourisme avait enfin été considéré comme un outil au service du développement durable. Avec l’année internationale du tourisme durable pour le développement en 2017, il s’agit de sortir de la niche de l’écotourisme et de populariser les bonnes pratiques du tourisme responsable tant auprès du grand public que des professionnels.

A retrouver sur Voyageons-Autrement.Com

 ATR (Agir pour un Tourisme Responsable) a présenté quelques raisons d’agir encore plus pour un tourisme responsable en 2017.

A retrouver sur LaQuotidienne.fr

Le tourisme responsable vise à moraliser les pratiques des agences locales et à apporter des contributions aux pays d’accueil, sans nécessairement demander une participation financière à leurs clients. Cette double préoccupation est défendue par l’association Agir pour un tourisme responsable (ATR), qui compte de gros voyagistes intervenant dans le secteur commercial. Elle revendique près d’un million de voyageurs « responsables» par an.

Le tourisme responsable apparaît dans un nombre croissant de stratégies de destinations et de réglementations (promotion au Maroc, écotaxe aux Baléares, structuration de l’offre en Bretagne, labellisation au Costa Rica).

 Agir pour un Tourisme Responsable a dévoilé sa liste des 10 raisons d’agir pour un tourisme responsable en 2017, année internationale du tourisme durable.

A retrouver sur Tourmag.com

Une démarche solidaire plus qu’humanitaire. II ne s’agit pas d’humanitaire, prévient Aurelien Seux, cofondaleur de l’agence Double Sens, l’une des pionnières dans le secteur. Le voyage solidaire ne s’inscrit pas dans une aide d’urgence. Il s’agit surtout de participer à des projets existants mis en place localement.

Il est important que les touristes qui vont visiter ces pays d’Asie du Sud-Est, d’Amérique du Sud, d’Afrique, puissent être protégés par des pratiques, des produits qui respectent les environnements et les hommes. Pour cela, le label ATR va déterminer des engagements à respecter et est très important pour la profession du tourisme.

Le compte-rendu de l’atelier sur les labels des Universités 2016 du tourisme durable est à retrouver sur tourisme-durable.org

Alors que le nombre de pax stagne pour le groupe Salaun sur le Vietnam, il choisit de «reprendre» le marché en main avec des prix affûtés et un accent sur le tourisme respectueux, voire de développement durable.

 Jean-François Rial (Voyageurs du Monde) et Patrice Paoli (Centre de crise du ministère des Affaires étrangères) débattront des relations entre destinations touristiques et géopolitique. Vincent Fonvieille et Julien Buot (ATR – Agir pour un tourisme responsable) évoqueront les enjeux du tourisme responsable et les engagements des acteurs dans ce domaine à la veille de l’année internationale du tourisme durable pour le développement.

 Enthousiaste et engagé, soutien de l’association SOS Méditerranée qui organise des opérations de sauvetage de migrants en mer, passionné de politique mais effaré par un monde en folie qui se replie sur lui-même, Alain Capestan ne limite pas son activité de tour-opérateur à booker des places d’avion et des chambres d’hôtel.

Le PDG de Comptoir des Voyages (spécialisé dans le voyage en immersion) est aussi directeur général de Voyageurs du Monde qui coiffe Terres d’Aventure, Nomade, Grand Nord Grand Large ou Allibert, des sociétés installées sur le créneau du trek et du voyage aventure. Toutes sont signataires de la charte «Agir Pour un Tourisme Responsable» (ATR).  Rencontre.

On a une croissance soutenue pour le tourisme de découverte… d’un monde en mouvement !

A retrouver sur Libération.fr

 Dans son catalogue 2017, Pouchkine Tours qui organise à la fois des voyages de groupes et des voyages sur mesure reprend ses grands classiques (des croisières fluviales Saint Petersbourg-Moscou, des voyages en Transsibérien, des circuits sur la route de la soie, autour de la mer noire et en Europe centrale et orientale), agrémentés parfois de visites un peu plus inhabituelles –comme celle d’une ferme, par exemple pour permettre à ses clients de mieux appréhender les réalités locales.

Il est vrai que Salaün Holidays est désormais membre du collectif ATR, qui milite en faveur d’un tourisme responsable, plus respectueux de l’environnement et des populations visitées.

A retrouver sur le blog de La Croix

C’est bien d’afficher de bonnes intentions, mais c’est mieux d’en apporter la preuve. Né en 2004 de la réunion de tour-operateurs spécialisés dans le voyage d’aventure, tel Allibert Trekking, ATR fédère aujourd’hui une douzaine de membres qui s’engagent concrètement sur le caractère durable de leurs pratiques.

 

A découvrir dans le dernier numéro de Géo Extra consacré aux plus beaux voyages des 10 prochaines années.

Bientôt, on ne parlera plus de Tourisme Responsable mais de Tourisme tout court, car toutes les responsabilités, y compris sociales et environnementales, auront été intégrées dans les pratiques de la majorité des professionnels français du tourisme.

Retrouvez la chronique de Christian OROFINO sur Tourmag.com ainsi que les articles consacrés en novembre par TourMag :

• à la labellisation de Double Sens

Après La Balaguère et Evaneos.com, c’est au tour du voyagiste Double Sens d’obtenir le label Agir pour un Tourisme Responsable, certifié par Ecocert Environnement.

• aux 10 ans de l’Association pour le Tourisme Equitable et Solidaire

La prétendue compétition imaginée par certains médias entre ATES et ATR n’est qu’une vue de l’esprit. Aurions-nous invité le président d’ATR, Vincent Fonvieille que nous remercions pour sa participation, si tel était le cas.

Cinq voyages éthiques. Récolter du café au Pérou, transporter du bois en Mongolie, aider les minorités Muong au Vietnam… Loin du « all inclusive », voici cinq séjours pour voyager dans un esprit de solidarité.

A retrouver sur Lemonde.fr

Par chance, les alternatives sont multiples, et n’obligent pas forcément à partir sac au dos. Les inconditionnels de voyages organisés peuvent ainsi se tourner vers des professionnels solidaires, tels ceux que regroupent ATR (Agir pour un Tourisme Responsable).

A retrouver sur leprogres.fr

Depuis 2014, ATR est passée de 9 à 20 opérateurs de voyage.

 Le tourisme responsable n’est plus une niche de marché, mais l’objet d’un large rassemblement d’opérateurs du voyage unis et en marche pour répondre aux enjeux du 21e siècle. De bon augure à la veille de 2017, proclamée Année Internationale du Tourisme Durable par l’Organisation des Nations Unies.

«Selon les résultats d’une enquête de l’association ATR (Agir pour un tourisme responsable), pour un tiers des voyageurs sondés, l’engagement écoresponsable du tour-opérateur est un critère de choix décisif dans l’achat d’un voyage. Exemple au Vietnam où une communauté Muong s’ouvre aux touristes français.»

Un reportage à retrouver sur Francetvinfo.fr

« VRAI/FAUX Les grand groupes touristiques prennent le sujet au sérieux. Le SETO (Syndicat des Entreprises du Tour Opérating) s’est décidé en opérant un rapprochement avec ATR (Agir pour un Tourisme Responsable). »

Nous souhaitons attirer à la cause des entreprises qui viennent de différents horizons et pas forcément rester entre voyagistes spécialistes du voyage d’aventure, explique Vincent FONVIEILLE, président d’ATR.

Et puis comme le souligne Julien BUOT, directeur d’ATR, être engagé dans le tourisme responsable c’est aussi un signe de bonne santé économique. Il ne faut pas oubizr que c’est un bon outil pour rationaliser ses coûts et motiver ses équipes.

A lire dans le numéro de Tourmag édité à l’occasion du salon International French Travel Market (IFTM)

«Aux côtés de Travelife, ATR se donne pour mission de faire évoluer les opérateurs de voyages vers toujours plus de responsabilité. Julien Buot nous explique pourquoi et comment, avec beaucoup de pragmatisme.»

Retrouver l’intégralité de l’interview de Julien BUOT, Directeur d’ATR sur strategos.fr

« Désormais, les acteurs « traditionnels » du voyage ont compris l’intérêt de tirer profit de l’imagination débordante des nouvelles pousses plutôt que de s’y opposer.  »

A retrouver sur Tourmag.com

« Images Travel et Salaün Holidays, en cours de labellisation Agir pour un Tourisme Responsable (ATR), se sont par ailleurs associés pour mener des actions de développement local. Un tourisme responsable que la connaissance du terrain de Toan Nguyen permet de cibler sans erreurs ni heurs aux traditions locales. »

A retrouver sur Laquotidienne.fr

« Dans le prolongement de ces actions, Salaün a adhéré à l’association de TO Agir pour un tourisme responsable (ATR). Avec l’objectif d’obtenir son label, » se perfectionner et aller plus loin dans la démarche ». Il doit auparavant être audité par Ecocert Environnement, qui vérifiera sa conformité au nouveau référentiel d’ATR. »

A retrouver sur Lechotouristique.com

Échapper au tourisme de masse pour se tourner vers un tourisme plus responsable et équitable trouve de plus en plus d’adeptes.

A retrouver sur La-croix.com

Associe à Terres d Aventure, membre fondateur de l’Association ATR (Agir pour un Tourisme Responsable), Grand Nord Grand Large a obtenu la certification Tourisme Responsable délivrée par l’Afnor en decembre 2009 et a toujours voulu sensibiliser les participants a ses voyages au rechauffement climatique.

Marcher permet de renouer un très ancien dialogue entre l’homme et la nature, de s’inscrire dans une tradition séculaire d’interaction… explique Vincent Fonvieille, président d’Agir pour un tourisme responsable (ATR)

Comment être sûr que le professionnel auquel vous vous adressez répond aux critères de respect de l’environnement et de l’homme? Deux labels peuvent vous aider, celui délivré par ATR (Agir pour un tourisme responsable) et celui accordé par l’ATES (Association de tourisme équitable et solidaire).

En France comme dans les pays étrangers, optez pour les labels de tourisme durable et écologique pour trouver un hébergement respectueux de l’environnement comme ATR : Agir pour un tourisme responsable.

Nous avons la volonté de convaincre les petits opérateurs (par exemple les réceptifs en France ou à l’étranger) mais aussi les grands (de nombreux groupes importants ont été approchés) à nous rejoindre. Nous souhaitons élargir le cercle. Ainsi, l’association est déterminée à honorer son sigle Agir pour un Tourisme Responsable par le soutien à des projets concrets sur le terrain.

A retrouver sur la plateforme voyage de TV5Monde

Pour beaucoup d’entre nous, il est désormais important de donner du sens à ses vacances et de partager les réalités sociales des pays visités.

 

Dans l’objectif de formaliser de bonnes pratiques en la matiere, plusieurs operateurs de tourisme français se sont regroupés, en 2004, pour creer l’association Agir pour un Tourisme Responsable (ATR). Forts de leurs valeurs communes basées sur le respect, la solidarité et la qualité, ils ont publié la charte éthique du voyageur et mis en place le label ATR. Ces professionnels encouragent ainsi le développement d’un tourisme qualitatif pour une découverte authentique des régions d’accueil, en respectant l’environnement, le patrimoine naturel et culturel et en informant les publics de façon transparente.

Certifié par l’Afaq-Afnor en 2008 et désormais par Ecocert, le label ATR est devenu une référence dans le milieu du tourisme durable.

Le dossier « Voyager autrement » proposé par le magazine des Colibris est à retrouver sur Kaizen-magazine.com

Le Népal garde un capital sympathie auprès des voyageurs, ceux qui y sont partis n’ont qu’une idée en tête, y retourner. Il y a une vraie distorsion médiatique entre la réalité et les images qui ont pu être véhiculées sur le séisme.

A retrouver sur Tourmag.com

 L’association compte désormais 17 membres qui ont signé sa charte. Et de préciser dans un communiqué que 10 ont déjà été certifiés par Afnor sur la base de l’ancien référentiel ATR et 12 sont en cours de labellisation et seront évalués par Ecocert.

J’ai noué d’excellentes relations avec les membres du label ATR, indique la fondatrice de Babel Voyages.

Aujourd’hui, un engouement est constaté avec la participation de tour-opérateurs français ainsi que l’association Agir pour un tourisme responsable, qui ont rejoint récemment le tour de table de cette commission pilotée par AFNOR et en charge de définir la position de la France en terme de norme internationale (ISO) dans le domaine dans le domaine du tourisme.

Un label tire une activité vers le haut car il signifie dans l’esprit du consommateur que la collectivité industrielle a effectué un travail de recherche au-delà d’une facilité de production, et cette marque distinctive constitue ainsi un symbole d’excellence pour toute une profession.

Retrouvez les chroniques de Christian OROFINO sur Tourmag.com

Loin de l’actualité médiatique, de nombreuses associations, oeuvrent encore sur le territoire népalais pour apporter matériels, médicaments, vivres, aides diverses… dont ATR qui participe à la relance de  la destination.

L’IPAMAC a conventionné avec les agences du réseau ATR dès 2007 conscient de notre intérêt commun à travailler en partenariat.

ATR aide les professionnels du tourisme dans la reconstruction de la destination, en lien avec les ONG locales reconnues et soutenues par les membres d’ATR.

Que l’on veuille contribuer à l’économie locale ou multiplier les échanges avec les habitants, on peut développer sa fibre écocitoyenne avec des séjours pas comme les autres.

Pour inciter les voyagistes à aller vers ce label, une période d’accompagnement de deux ans leur permettra d’entrer pas à pas dans les 16 critères requis.

Il faut arriver à changer la culture des grands voyagistes du SETO et faire comprendre que le tourisme responsable n’est pas réservé aux TO d’aventure. Au lendemain de la Cop21, le discours est d’autant mieux accueilli par les voyagistes que ceux-ci vont devoir davantage prendre en compte dans leurs activités les critères de développement durable, sociaux et sociétaux.

L’Association Agir pour un Tourisme Responsable (ATR) a présenté la nouvelle génération de son label aux professionnels réunis à Lyon pour le Forum du SETO à Lyon. Objectif séduire aussi les grands TO.

4 décembre : conférence Agir pour un tourisme responsable sur les voyages climato-compatibles

De nombreuxprofessionnels du voyage font encore l’autruche sur l’épineuse question de leur responsabilité dans le changement climatique et la lutte pour limiter le rechauffement de notre planète.

Retrouvez la chronique de Julien Buot, Directeur d’ATR sur Tourmag.com

ll faut imposer des quotas de CO2 ; on n’a plus à discuter.

La tendance du slow tourism intéresse les Français mais l’offre est mal identifiée selon Guillaume CROMER, Président des Acteurs du Tourisme Durable, par ailleurs ambassadeur de Travelife en France, un système international de reporting de l’engagement durable des tours-opérateurs couplé au label ATR.

Les principaux acteurs économiques et du tourisme haut-pyrénéens se sont réunis à la CCI pour une journée consacrée au tourisme durable.

Parfois, un seul touriste, cest déjà trop et, dans d’autres cas, 10 000 touristes bien gérés peuvent s’inscrire dans une demarche responsable, observe Julien Buot, directeur d’Agir pour un tourisme responsable (ATR) qui réunit des tours-opérateurs français investis dans le tourisme durable.

Première agence de voyages d’aventure certifiée ATR, «vers un tourisme responsable» en 2008, Allibert Trekking est engagée dans une demarche de tourisme responsable depuis sa création.

 Nomade Aventure est un voyagiste engagé dans un tourisme responsable (certifié ATR), spécialiste du voyage d’aventure depuis 1975 (à pied, à cheval, à vélo… et même à mobylette), des circuits originaux en immersion dans la nature, au plus près des populations. À l’occasion de ses 40 ans, un jeu-concours a été organisé sur le thème : Racontez-nous votre plus fort souvenir de voyage ! Découvrez lors de cette exposition, les plus belles photos du Grand Prix 40 ans Nomade.

Plus que jamais fidèle aux valeurs qu’il a faites sienne – respect des personnes et des sites, solidarité et partage, Vincent Fonvieille, son fondateur et dirigeant, est l’un des membres à l’origine de l’association « Agir pour un Tourisme Responsable » (ATR).

Pour Guy Chaumereuil et pour tous les montagnards du Grand bivouac, parler du Népal était une évidence. Parce que le président du festival était sur place au moment des tremblements de terre. Parce qu’il a voulu y retourner en septembre pour donner des nouvelles des Népalais. Et parce que tous ceux qui sont allés un jour au Népal, semblent avoir laissé un morceau d’eux là-bas. Beaucoup d’entre eux étaient là, hier, dans le Dôme théâtre plein à craquer, pour le premier grand rendez-vous de cette édition. Pour un voyage retour au Népal, en compagnie de spécialistes. Pour une déclaration d’amour. Tour à tour, Jean-Michel Asselin (journaliste, himalayiste), Robert Dompnier (Agir pour un tourisme responsable) ont lancé un appel aux voyageurs : II faut retourner au Népal.

Vincent Fonvieille, Président d’ATR, a fait de son entreprise le 5e tour opérateur français d’aventures. Le fondateur de La Balaguère vient de fêter les trente ans de son entreprise. Une belle aventure partie d’une vallée où il exerce désormais des responsabilités électives.

Les 10 & 11 septembre derniers ont eu lieu la première édition des Universités d’été du tourisme durable organisées par ATD. Pour cet événement unique en France, 100 professionnels se sont réunis pour réfléchir ensemble aux leviers qui permettront au secteur de changer d’échelle. Retrouvez à présent le compte rendu de l’atelier N°1: tourisme durable : tourisme rentable ? animé par Julien Buot, Directeur d’ATR et Secrétaire d’ATD avec des témoignages  de Jean-Paul Guérin (IPAMAC), Régis Laurent (Bol d’Air), Loïc Minvielle (Comptoir des Voyages), Jean-Christphe Naal (Grandir Aventure).

A retrouver sur tourisme-durable.org

 Etre à la hauteur des multiples enjeux d’une démarche de tourisme durable et responsable demande aux entreprises la mise en place des outils de gestion adaptés, la capacité de se remettre en question et la volonté de communiquer sur l’avancement et les résultats. Pour y répondre : Jürgen Bachmann (Seto), Françoise Riera-Dabo (FRD Conseil), Julien Buot ( ATR Agir pour un Tourisme Responsable), Guillaume Cromer (Travelife), et Charles de Vivie (Kuoni).

Les professionnels tentent de rendre leurs offres de voyages plus compatibles avec l’environnement et les préoccupations liées au réchauffement climatique.

Retrouvez l’article du Parisien, l’un des 100 médias qui a repris la dépêche AFP sur les engagements des voyagistes en matière de lutte contre le dérèglement climatique à la veille de la COP 21.

Et si cette année vous optiez pour des vacances différentes.  Chez certains grands tour-operators, vous trouverez le label ATR /Agir pour un tourisme responsable, une autre forme de voyage respectueux des pays et des cultures. Quelle que soit l’agence à laquelle vous vous adressez, prenez le temps de lire et décrypter, posez des questions quant à leur engagement solidaire.

Pour aider le voyageur à s’y retrouver il existe deux structures professionnelles : l’Association pour un Tourisme Equitable et Solidaire, qui regroupe plutôt les structures associatives, et Agir pour un Tourisme Responsable. Double Sens a choisi, pour le moment, de ne pas faire partie de ces structures, préférant suivre sa route, affiner son fonctionnement et ses critères seul. En revanche, l’entreprise a noué des partenariats avec de solides acteurs du tourisme : Voyageurs du Monde, Terre d’Aventure et Nomade. Nous sommes leurs partenaires sur le volet solidaire, qu’ils ont souhaité développer.

FAUX les voyages équitables sont plus chers que les voyages classiques.

Ses membres s’engagent à impliquer et à respecter les populations locales, à privilégier les emplois directs locaux, à veiller au juste respect des minima sociaux. Ils s’efforcent aussi de réduire l’impact de leur activité sur l’environnement.

Depuis 2008, Voyageurs du Monde intègre dans le coût de ses voyages, le coût environnemental d’1/4 de tonne d’équivalent CO2 sur un itinéraire aérien et terrestre court courrier et d’1/2 tonne pour le reste du monde. Les sommes recueillies servent à soutenir des projets de développement solidaire.

Les voyageurs ne choisissent pas un tour opérateur en fonction de ses engagements solidaires. En revanche, j’ai la conviction que cette stratégie sera gagnante sur le long terme, explique Jean-François Rial, le PDG de Voyageurs du Monde.

Un article à retrouver sur Tourmag.com

Quelques exemples à suivre ? Tous les membres de l’ATES ou d’ATR, notamment Voyageurs du Monde et Allibert, proposent des informations chiffrées ou précises.

Le tourisme responsable n’est pas la chasse gardée du tourisme d’aventure, insiste Julien Buot, qui nous livre quelques bons conseils en la matière.

A retrouver sur 20minutes.fr

Dans le cadre de son projet horizon 2020, ATR a décidé de s’ouvrir à un cercle plus large d’opérateurs de voyage mais aussi de développer des partenariats avec les universités et les écoles en tourisme.

Des associations comme ATR (Agir pour un tourisme responsable) se sont adaptées a ce nouveau public et ont créé des labels pour rendre plus simples et plus visibles les acteurs de ce tourisme.

A retrouver sur Libération.fr

10 propositions pour l’élaboration d’une « Charte du jeune touriste responsable » seront présentées par les élèves à l’issue des joutes oratoires, pour la finale de l’opération Ambassadeurs en herbe organisée à l’UNESCO par l’Agence pour l’Enseignement Français à l’Etranger.

A retrouver sur Femmexpat.com

Après le séisme, ATR organise des marches solidaires pour le Népal, invite à donner pour venir en aide aux victimes et appelle à y voyager dès que possible.

Expliquer plutôt qu’interdire, voilà l’idée maîtresse de la Charte éthique du voyageur. Celle-ci vise à créer un déclic chez le futur touriste.

Un article à retrouver sur Voyageons-autrement.com

Il est important pour nous de nous retrouver avec des acteurs qui ont les mêmes valeurs, même si les projets peuvent être différents entre les uns et les autres. Parmi nos engagements concrets, nous souhaitons développer les partenariats locaux , par exemple participer à un balisage afin d’aider au développement et à l’entretien des chemins. Enfin, le tourisme responsable est forcément dans notre ADN lorsque nous montons nos circuits. On va voir les hébergeurs, les producteurs locaux, on rencontre les gens, on fait attention à ce que nos propositions soient adaptées à nos randonneurs.

A retrouver sur Voyageons-autrement.com

Le tourisme sera responsable ou ne sera plus. Interview avec Julien Buot, Directeur d’ATR.

A retrouver sur Hug-magazine.fr

Depuis son dixième anniversaire célébré en 2014, ATR, Agir pour un Tourisme Responsable, a décidé de passer à la vitesse supérieure et d’agrandir son cercle autant que son volet d’actions. Première réalisation concrète dans ce nouvel élan, la création d’un observatoire du tourisme responsable qui vise à développer des partenariats avec les universités et les écoles de tourisme, mais également à apprendre des travaux des chercheurs. La participation au premier MOOC en écotourisme en est la toute première déclinaison…

A retrouver sur Voyageons-autrement.com

A la tête d’ATR, deux personnalités qui comptent et qui sont pour beaucoup dans cette volonté de changement : Vincent FONVIEILLE, PDG de la Balaguère et Julien BUOT qui vient de prendre la direction de l’association après avoir coordonné l’ATES pendant 6 ans.

Découvrez le hors série de Trek Magazine consacrée au tourisme responsable, avec un édito de Pierre Bigorgne « Trekker responsable », un article de Geneviève Clastres sur les 10 ans d’ATR, de nombreuses illustrations des actions menées par les tours-opérateurs d’aventure pour un tourisme responsable et pas moins de 65 itinéraires « impliqués et respectueux »…

Les « écovoyageurs » soucieux de leur impact peuvent consulter une Charte éthique du voyageur, créée par ATR.

La ventilation des retombées économiques des différents types de tourisme au Maroc montre que la part du prix du séjour qui profite réellement à l’économie locale est quasiment similaire entre voyage solidaire et séjour en club, rapport Gilles CAIRE, économiste du tourisme.

Il s’agit d’un débat dépassé. Certaines très grosses structures sont vertueuses. D’autres, bien plus petites, ne le sont pas. Il faut rassembler, créer des partenariats, affirme Julien Buot, directeur du réseau Agir pour un tourisme responsable (ATR), qui compte parmi ses adhérents des voyagistes de petite ou moyenne taille comme Nomade ou Atalante. Je suis convaincu que même si la démarche responsable d’un grand voyagiste n’est pas très authentique, elle peut être bénéfique et crée du changement.

Un article à retrouver sur Lenouveleconomiste.fr

Extrait de l’interview de Vincent Fonvieille, Président d’ATR et  PDG de La Balaguère  :

L’association ATR (Agir pour un tourisme responsable) s’est créée à partir d’une mouvance de la fin des années 90 autour des notions d’écotourisme, de tourisme solidaire, de tourisme equitable, etc. Personnellement, j’avais l’impression de faire du tourisme responsable et durable depuis toujours. Donc je me suis engagé dans cette association, avec un petit groupe de cinq-six concurrents, dont Terres d’Aventure, Allibert Trekking, et Atalante.

Si vous pensez sincèrement respecter les populations locales, les impliquer dans le voyage, respecter l’environnement, vous n’êtes pas sur pour autant qu’au bout de la chaine, tout soit respecté. Les conditions véritables dans lesquelles travaille le chamelier au fin fond de la Mauritanie, le poids que le porteur népalais endosse ou encore combien est-il payé, tout cela, vous ne le savez pas. La certification nous a appris à travailler de façon beaucoup plus rigoureuse, transparente et efficace. Vous savez, entre le dire et le faire, il y a un travail de titan. C’est ce que nous avons appris et mis en oeuvre. Faire ce que l’on dit et le prouver.

A l’occasion de son 10e anniversaire, ATR organisait une grande conférence sur l’édition 2014 du festival du Grand Bivouac d’Albertville. Grands Reportages a couvert l’événement, animé les échanges et capté 10 extraits vidéos. Avec les témoignages de Geneviève CLASTRES, journaliste pour Voyageons-Autrement.Com, Christophe LESERVOISIER, fondateur d’Atalante et premier Président d’ATR, Vincent FONVIEILLE, fondateur de La Balaguère et Président d’ATR, Laurent BESSON, fondateur de Vision du Monde et représentant de l’ATES, Franck MICHEL, anthropologue du voyage.

A retrouver sur la Web TV de Grands Reportages