En effet, le voyagiste breton est labellisé ATR depuis 2018 et s’est engagé à compenser son empreinte carbone administrative dès 2020 et la totalité de son empreinte environnementale à partir de 2025. “Je ne suis évidemment pas de ceux qui préconisent de ne plus prendre l’avion, indique Michel Salaün, président du groupe dans un communiqué.
Un article à retrouver sur tourmag.com