Les adeptes du tourisme responsable doivent apprendre à séparer le bon grain de l’ivraie. La faute au greenwashing qui perdure dans le secteur. Heureusement, depuis quelques années émerge un tourisme responsable, durable, solidaire, participatif, équitable. Selon l’association Agir pour un tourisme responsable (ATR), qui décerne le label du même nom, «il s’agit de limiter les aspects négatifs et de maximiser les retombées positives pour le pays d’accueil et ses habitants».
Un dossier à retrouver sur capital.fr et dans le hors série du magazine sur “la folie du business vert et en comment en profiter soi-même”