Dès juillet, 3 sites particulièrement prisés de l’île de beauté seront soumis à quotas afin de les préserver. Concrètement, cela signifie que les visiteurs devront réserver s’ils veulent pouvoir accéder à ces paysages. Un mécanisme qui n’est pas nouveau: il a été mis en place dans deux calanques de Marseille, au Machu Picchu, au Bhoutan etc…
“La surfréquentation n’est pas un sujet nouveau. C’est un problème qui s’accentue parce que le nombre de touristes qui traversent une frontière pour leurs vacances a doublé en vingt ans, explique Julien Buot, directeur de l’association Agir pour un tourisme responsable. (…) Depuis plusieurs années, nous invitons les collectivités locales à prendre leurs responsabilités à ce sujet.”
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