Pour Guy Chaumereuil et pour tous les montagnards du Grand bivouac, parler du Népal était une évidence. Parce que le président du festival était sur place au moment des tremblements de terre. Parce qu’il a voulu y retourner en septembre pour donner des nouvelles des Népalais. Et parce que tous ceux qui sont allés un jour au Népal, semblent avoir laissé un morceau d’eux là-bas. Beaucoup d’entre eux étaient là, hier, dans le Dôme théâtre plein à craquer, pour le premier grand rendez-vous de cette édition. Pour un voyage retour au Népal, en compagnie de spécialistes. Pour une déclaration d’amour. Tour à tour, Jean-Michel Asselin (journaliste, himalayiste), Robert Dompnier (Agir pour un tourisme responsable) ont lancé un appel aux voyageurs : II faut retourner au Népal.