Il faut arriver à changer la culture des grands voyagistes du SETO et faire comprendre que le tourisme responsable n’est pas réservé aux TO d’aventure. Au lendemain de la Cop21, le discours est d’autant mieux accueilli par les voyagistes que ceux-ci vont devoir davantage prendre en compte dans leurs activités les critères de développement durable, sociaux et sociétaux.