Madagascar

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« Mieux vaut lentement et bien que vite et mal », proverbe à destination du vazaha (étranger en malgache).

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Généralités du pays et enjeux majeurs liés au tourisme responsable

Indice de Développement Humain

Objectifs du Développement Durable

50,1 % des Objectifs du Développement Durable fixés en 2015 par les Nations Unies atteints en 2022. De grands efforts sont nécessaires pour 14 des 17 objectifs, notamment au niveau social (pauvreté, faim, éducation, inégalité, conditions de travail, …). Nous pouvons cependant noter des efforts fournis pour l’effort dans la lutte contre le changement climatique et pour le renouvellement du système de production et de consommation.

Enjeux majeurs

  • Exploitation sexuelle des enfants
  • Manque de formations
  • Protection nature, sur-pêche et déforestation
  • Respect des conditions de travail

Autre informations

Premier peuplement vers -2000 av JC par les Vahoaka (« ceux des canoës », peuple de la mer)

Indépendance en 1960 dans le prolongement de l’insurrection de 1947 contre les autorités coloniales françaises

Près de 25 millions d’habitants en 2017 (15 millions en 2000) répartis sur 587041 km2

Indice de développement humain : 0,51 (154e rang sur 188 pays)

293 000 visiteurs étrangers en 2016, dont plus de 25% de français (contre 400 000 en 2008)

Indice ATR (nombre de touristes étrangers / nombre d’habitants) : 1,17 visiteurs pour 100 habitants

Effets positifs du tourisme : emplois et revenus directs indirects et induits, des voyageurs qui choisissent cette destination pour le caractère unique de son environnement et de ses traditions, de nombreux sites classés et reconnus pour leur qualité avec l’appui de nombreuses ONG qui participent à des programmes de conservation et de développement local, des professionnels du tourisme qui intègrent le développement durable dans leurs activités, donnent des consignes très strictes à leurs prestataires et leurs équipes et sensibilisent leurs clients.

Effets négatifs du tourisme : une fréquentation globale très faible liée au manque de moyens pour promouvoir la destination mais aussi gérer le développement (infrastructures notamment routières), un volume de touristes trop élevé sur certains sites (Nosy Be) où les revenus de l’activité touristique attirent de plus en plus de malgaches, contribuant à l’augmentation exagérée des prix et une pression sur l’environnement, un développement de l’écotourisme sans intégration des enjeux sociaux et culturels, un développement de la mendicité, des dérives du tourisme humanitaire, des touristes qui donnent des bonbons ou des crayons sans se soucier les besoins réels des populations, des habitants tentés de se détourner de leurs activités traditionnelles pour se tourner exclusivement vers le tourisme, dont les revenus dépendent de conditions politiques et sécuritaires aléatoires, une introduction d’espèces populaires auprès des touristes sans études d’impact, ou encore un changement de comportement alimentaire des animaux montrés aux touristes.

Labels et réseaux locaux

ANTSO RE (Association Nationale du Tourisme Solidaire et Responsable), littéralement « APPEL (ANTSO) ENTENDU (RE) » (en malgache) est un réseau d’acteurs locaux conscients de l’importance du patrimoine culturel et naturel à Madagascar.

Des opérateurs locaux valorisent également leurs engagements à travers les démarches Fair Trade Tourism (FTT) initié depuis l’Afrique du Sud (avec le soutien du groupement de professionnels GoToMadagascar) et Travelife, en lien avec la stratégie « DEFI 2020 » de développement durable du ministère du tourisme de Madagascar.

Système politique et juridique

République à régime semi-présidentiel multipartite dont les institutions sont définies par la constitution de la 4e République (2010)

Index de perception de la corruption par Transparency International : 26/100 (145e rang sur 176 pays)

Le rapport d’Amnesty International indique notamment un contexte de pauvreté généralisée, une malnutrition très répandue et un accès aux soins de santé primaires en détérioration.

Droit du tourisme : à chaque nature d’activité touristique correspond une licence spécifique : A pour les agence de voyages,  B  pour les voyagistes ou les réceptifs (minimum obligatoire pour les réceptifs travaillant avec des voyagistes français), C pour les entreprises de prestations touristiques spécialisées, les entreprises de location de voitures, de bateaux de plaisance ou d’autres matériels de transports motorisés ou non (minimum obligatoire pour les prestataires travaillant avec des voyagistes français). Il est obligatoire de souscrire des assurances garantissant les conséquences pécuniaires et dommageables de la responsabilité civile professionnelle qui couvre les accidents de transports (voitures, minibus…), des chauffeurs, des clients, les dommages matériels et les vols (perdu pendant le transport  durant le circuit ou voler dans le bus).

Seules les personnes ayant suivi des formations de guidage ou pouvant justifier d’une expérience en la matière peuvent exercer la profession de guide, répartie en 4 catégories : guide local, guide régional, guide spécialisé et guide accompagnateur national (nouvelles cartes en cours en 2017 suite à une mise à jour des agréments des guides). L’ensemble des guides sont formés aux premiers secours et ont les connaissances médicales requises pour l’accompagnement et l’encadrement en moyenne montagne, le cas échéant.  Ils sont aussi formés à la gestion de groupe, à la logistique matérielle, aux pratiques du tourisme responsable et à la situation environnementale, sociale et culturelle du pays. Le réceptif diffuse auprès de son personnel la « Charte Ethique du Voyageur », document de sensibilisation aux pratiques du développement durable appliqué au domaine du tourisme.

Toute personne bénéficiant d’un contrat de travail doit être déclarée à la caisse nationale de prévoyance sociale (CNAPS) et à une organisation sanitaire inter-entreprises (OSIE) mais c’est obligatoire uniquement pour le personnel administratif ou les personnes déclarées comme personnel permanent. Pour le personnel freelance (guides notamment), possibilité de souscription volontaire à la CNAPS et pour tous les salariés, possibilité de souscription à des systèmes sociaux complémentaires (prévoyance, retraite) et/ou mutuelle.

Lorsque le portage se fait à dos d’homme, les limites annoncées et contrôlées par les prestataires doivent être de 15kg par porteur.

Il est demandé aussi aux voyagistes de s'assurer que leur réceptif est parfaitement en règle vis à vis de la réglementation (licences et responsabilités civiles) et des déclarations fiscales (TVA , IRSA , Impôt synthétique).

L’âge minimum légal pour travailler est de 18 ans mais certains jeunes sont initiés aux métiers du tourisme dès 16 ans, notamment en période de vacances scolaires ou en cas de non scolarisation.

Economie

Diagnostic général

  • Taux de chômage en 2018 : 2.5%
  • 350,000 de touristes étrangers en 2019
  • 12,7 % du PIB est généré par le tourisme en 2019
  • Taux de pauvreté en 2018 : 91.5 %
  • 78.8 % de la population vit avec moins de 2$ par jour en 2018

Le rapport du ministère français de l’économie indique que la situation économique s’est améliorée depuis 2014. Le secteur « agriculture, pêche, élevage et environnement » représente 85% des emplois mais ne pèse que 25% du PIB. La population, vivant à 70% en zone rurale, continue de dépendre d’une agriculture de subsistance.

Activités principales (hors tourisme) : mine (dont terres rares comme le titane et l’ilménite), pêche, et agriculture (riz, maïs et vanille en tant que premier pays exportateur dans un contexte de crise liée à la privatisation des exploitations et aux cyclones qui ont dévasté les zones de production)

Salaire moyen mensuel : 90 euros

Salaire net mensuel minimum : 45 euros en 2017, soit 155 000 MGA (Ariary)

Rémunération recommandée par ATR en 2017 pour les professionnels du tourisme : guide local (9 euros par jour), guide accompagnateur national (35 euros par jour), guide régional (37 euros par jour), guide spécialisé (50 euros par jour), ou entre 120 et 240 euros par mois si le guide est en CDI, chauffeurs (13 euros par jours minimum et entre 90 et 240 euros si en CDI), cuisiniers (10 euros par jour) porteurs (entre 7 et 9 euros par jour)

L’ensemble des agences réceptives fournissent obligatoirement au personnel embauché (freelance ou non) hébergement, nourriture et s’assurent que le personnel dispose d’un équipement adapté au cours des excursions dans des conditions « localement » convenables et en tenant compte des conditions climatiques associées. Si nécessaire, il aide à l’acquisition de ce matériel.

Prix de location pour une véhicule de plus de 5 ans avec des sociétés en règles : 80 euros par jour.

Pourboires

Le pourboire est une pratique usuelle au delà des rémunérations, leur montant varie selon le niveau et durée du service rendu ATR recommande une fourchette de pourboire.

Société

Conditions des enfants : mendicité et exploitation sexuelle

Malgré les différentes mesures du gouvernement depuis 2014 concernant la protection des enfants, l’ONU s’est exprimé en février 2022 : « Le Comité est gravement préoccupé par les informations selon lesquelles l’exploitation sexuelle des enfants est répandue et tolérée à Madagascar, en particulier dans les destinations touristiques ». La délégation malgache a affiché sa détermination à combattre « l’exploitation sexuelle des enfants par une politique pénale très sévère », en particulierau sein du tourisme . Concernant la mendicité des enfants, il est préférable de ne pas l’encourager. Si l’on souhaite apporter son aide en fournissant du matériel scolaire, des vêtements ou des médicaments, il est préférable de les remettre au directeur de l’école, au chef du village ou au dispensaire le plus proche, qui sauront en faire bénéficier les plus démunis.

Droits humains et changement climatiques

L’une des conséquences du changement climatique est la violation des droits humains. Selon Amnesty international : « La grave sécheresse qui sévissait dans le sud de Madagascar a eu des conséquences dévastatrices sur un ensemble de droits fondamentaux, notamment les droits à la vie, à la santé, à l’alimentation, à l’eau et à l’assainissement. […]Des enfants ont dû abandonner l’école pour aider leur famille à trouver de quoi se nourrir. Des femmes ont dû recourir à des mécanismes de survie préjudiciables, comme réduire les portions de nourriture des adultes de la famille pour pourvoir aux besoins des enfants, ou préparer des aliments moins chers et moins nutritifs. Les familles se sont également de plus en plus déplacées vers d’autres régions pour échapper à la faim.  » Plus d’un million de personnes ont actuellement besoin d’une aide alimentaire du Programme alimentaire mondial(PAM), une agence des Nations unies.

Image par Fifaliana Joy de Pixabay

Environnement

Quels changements climatiques sont visibles à Madagascar ?

  • Érosion des sols
  • Intensification des cyclones
  • Sécheresses extrêmes
  • Acidification des océans

Le tourisme comme cause

  • Surfréquentation de certaines zones (voir carte)
  • Émissions de gaz à effets de serre (produits par l’avion)
  • Déforestation
  • Surpêche

Conséquences sur le tourisme

  • Déplacement des populations
  • Famines
  • Manque de ressources en eau
  • Disparition de l’écosystème marin et terrestre

Autres informations

Le pays a de nombreux problèmes environnementaux, malgré l’action d’organismes comme Madagascar National Parks : déforestation (dépouillement des forêts primaires, exploitation du bois rose, populations des lémuriens très menacées), pillage des ressources halieutiques (destruction de nombreux écosystèmes et fragilisation des communautés locales côtières avec des retombées économiques associées), pillage des ressources naturelles malgaches (bois précieux comme le palissandre, pierres précieuses), problème de l’accès à l’eau potable, pénurie de centres de traitement des déchets, manque de sensibilisation et d’éducation de la population malgache tant urbaine que rurale.

Madagascar a entrepris des efforts significatifs pour freiner la dégradation de son environnement naturel et préserver sa biodiversité unique, orientant sa politique sur la voie d’un mode de développement durable. Conscient que ces problèmes de détérioration des écosystèmes étaient liés à la situation politique, économique et à la pauvreté, le gouvernement a élaboré un Plan National d’Action Environnemental (PNAE) avec l’appui de la Banque Mondiale, des agences internationales et de certaines organisations non gouvernementales. Ainsi, la Charte de l’Environnement adoptée sous forme de loi d’Etat qui constitue le cadre général de ce plan spécifique, exprime clairement le lien entre la protection de l’environnement et le développement économique du pays afin que le démantèlement de la  » spirale de dégradation  » bénéficie principalement aux populations les plus démunies tout en préservant l’exceptionnelle richesse en biodiversité.

La forêt n’occupe plus aujourd’hui que 17 % de l’île (contre 28 % du territoire national en 1950). La déforestation est surtout causée par les défrichements (résultant principalement de la pratique des cultures sur brûlis ou « tavy »), les feux de brousse allumés par les éleveurs pour maintenir les zones de pâturages ou par d’autres personnes à diverses fins, l’utilisation du bois par la population (bois de chauffe, cuisine, construction), ainsi que par l’exploitation forestière illicite en vue de satisfaire les besoins croissants en bois combustibles ou de fournir du bois d’oeuvre et de construction. 75 % de la population utilise du bois mort pour les activités quotidiennes (chauffe, cuisine…) et une grande partie de la population consomme du charbon à bois.

La déforestation entraîne aussi la disparition de nombreuses espèces, comme l’oiseau aepyornis et l’hippopotame nain. La chasse aux animaux sauvages dont la chair est appréciée par les malgaches, et les trafics d’espèces protégées (tortues, serpents boïdés) aggravent de phénomène.

Les cataclysmes naturels, essentiellement les cyclones tropicaux, amplifient les actions néfastes de l’homme sur la nature.

Le réceptif respecte et fait respecter les règles d’utilisation du bois selon la législation applicable en particulier dans les espaces protégés. La consommation de bois lors d’activité touristique est limitée au maximum. L’utilisation du gaz doit être privilégiée.

Il n’y a pas de politique nationale de gestion des déchets, gérés par les autorités locales qui mettent en place des systèmes de ramassage encore insuffisant. Par ailleurs, des systèmes de ramassage informel et des activités de recyclage sont très présents à l’initiative d’acteurs locaux et de certains réceptifs.

Actions recommandées par ATR :

  • inciter les clients à n’emporter que ce dont ils auront réellement besoin, retirer les emballages superflus de leurs produits (savons, bouteilles), emporter des détergents respectueux de l’environnement dans des quantités limitées
  • distribuer des sacs de collecte, inciter à ne pas accepter de sacs en plastique et disposer des poubelles dans les véhicules et lors des excursions
  • privilégier l’achat de produits frais achetés localement pour favoriser l’économie locale et éviter un surplus d’emballage
  • inciter les hébergements à mettre en place un compost
  • participer à un système de collecte mis en place par le réceptif, et rapatrier en France des déchets non recyclables sur place (pile, bombes aérosols, plastiques…)
  • sensibiliser et impliquer les différentes parties prenantes (clients, chefs de produits, guides, chauffeurs,etc) à la gestion des déchets et au partage des bonnes pratiques auprès des populations locales, notamment les enfants invités à répéter les bons gestes pour la planète
  • mettre en place des bonbonnes d’eau à disposition des clients, invités par ailleurs à se munir de pastilles désinfectantes, afin de minimiser l’achat de bouteilles en plastique

Le problème de la pollution des eaux commence à devenir de plus en plus préoccupant. Il est dû en grande partie à l’absence de législation et de contrôle sur les rejets polluants des installations industrielles, mais aussi à l’urbanisation rapide entraînant l’apparition des bidonvilles à proximité des lacs et des cours d’eau. La JIRAMA, compagnie nationale d’eau et d’électricité de Madagascar dispose de très peu de moyens et privilégie l’aménagement dans les grandes villes, sachant qu’une partie des foyers n’y sont pas rattachés (bidonvilles, banlieues). Notons que des ONGs, associations ou acteurs locaux se mobilisent pour mettre en place des programmes d’irrigation et d’assainissement ou des actions pour le transfert des resources en eau (citerne qui emmène de l’eau ponctuellement dans les villages ou petites villes), notamment dans les zone à risque à l’extrême sud de l’île qui peut subir des sécheresses.

Actions recommandées par ATR :

  • préférer les douches aux bains et conserver les serviettes plusieurs jours avant de les mettre au nettoyage
  • sensibiliser les réceptifs et leurs prestataires sur l’usage raisonné et écologique des spas et piscines
  • afficher clairement les pratiques de protection de l’environnement, idéalement à travers un label
  • tendre vers l’utilisation de détergents écologiques
  • privilégier l’utilisation des comprimés désinfectants, eau bouillie (thé, infusion)
  • ne pas se baigner ou se laver à proximité des sources d’eau (puits, piscines naturelles ou retenues d’eau communales)

Culture

L’unité dans la diversité est une formule qui pourrait résumer une culture locale métissée qui se manifeste à travers des traditions ancestrales vivantes et non figées dans divers domaines tour particulièrement la musique.

Six sites sont classés au patrimoine de l’UNESCO dont la colline royale d’Ambohimanga, la réserve naturelle Tsingy de Bemaraha et les forêts humides de l’Atsinanana,

Actions recommandées par ATR :

  • impliquer les acteurs locaux et les communautés locales dans la mise en place de pratiques touristiques responsables ; sensibiliser les voyageurs aux questions de mendicité, de tourisme sexuel des enfants, d’achats du patrimoine local comme souvenirs (fleurs, coquillages, animaux vivants, article du patrimoine national), des codes vestimentaires, des us et coutumes et des cultures à respecter
  • sensibiliser les voyageurs à l’artisanat fabriqué localement afin de soutenir le savoir-faire local

Conseils éthiques et pratiques pour les voyageurs

L’unité dans la diversité est une formule qui pourrait résumer une culture locale métissée qui se manifeste à travers des traditions ancestrales vivantes et non figées dans divers domaines tour particulièrement la musique.

Six sites sont classés au patrimoine de l’UNESCO dont la colline royale d’Ambohimanga, la réserve naturelle Tsingy de Bemaraha et les forêts humides de l’Atsinanana,

Actions recommandées par ATR :

  • impliquer les acteurs locaux et les communautés locales dans la mise en place de pratiques touristiques responsables ; sensibiliser les voyageurs aux questions de mendicité, de tourisme sexuel des enfants, d’achats du patrimoine local comme souvenirs (fleurs, coquillages, animaux vivants, article du patrimoine national), des codes vestimentaires, des us et coutumes et des cultures à respecter
  • sensibiliser les voyageurs à l’artisanat fabriqué localement afin de soutenir le savoir-faire local

Comment agir ?

Surfréquentation et saisonnalité

1. Où aller à Madagascar ?

Madagascar reste une destination à l’image négative, elle est alors peu surfréquentée sauf peut être durant la période estivale.

Solutions et alternatives

Ouest d’Ankarana 
    • Situé dans le nord de Madagascar, le parc national de l’Ankarana est un véritable joyau de la nature réputé par son réseau de rivières souterraines : le plus grand d’Afrique. Dotée d’un écosystème unique, cette zone protégée vous promet aventure et découverte !
Le sud et Anakao
    • Surf, plongée, randonnée, farniente : il y en a pour tous les goûts. Si vous souhaitez plonger, vous pourriez voir des baleines à bosse de juin à septembre, mais pensez à passer par des centres engagés et responsables !
      Le Parc National de Tsimanampetsotsa : diversité faunistique et floristique endémique exceptionnelle. On compte 72 espèces d’oiseaux, de nombreux lémuriens, tortues et reptiles et des poissons en tout genre !

      En résumé n’hésitez pas à découvrir l’intégralité de l’île !Image par Takeweb de Pixabay

2. Quand partir à Madagascar ?

3 conseils pour un voyage plus responsable mais tout autant mémorable

Vers qui se tourner ?

Quelques bonnes pratiques de nos membres

  • Eau purifiée fournie à nos clients dans un bidon placé dans la voiture pour remplir sa gourde sur tout l’itinéraire
  • Développement et promotion d’activités et d’excursions supportant la production et le développement locale

ONG, associations et labels

Contribuer à réduire ses émissions

Contribuer à réduire ses émissions ?

Les opérateurs de voyage, membre d’ATR, sont engagés dans l’évaluation, la réduction et la contribution à l’effort climatique.

ÉVALUER

3,15 tonnes d’émissions de CO2 pour un aller-retour direct Paris – Ivato international. Pour en savoir plus, rendez vous sur le calculateur Good Planet ou de l’ADEME

RÉDUIRE

Gardez vos bonnes habitudes même pendant le voyage (tri des déchets, 0 déchet, …), consommez des produits locaux et de saisons, préférez les voyages longs et hors-saisons

CONTRIBUER

En participant à des programmes de solidarité climatique et de contribution carbone : renseignez vous auprès de votre voyagiste !

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