Le label ATR est cité à de nombreuses reprises dans le dernier numéro de Socialter. Extrait :
Tourisme responsable, solidaire, équitable, communautaire… Les formes alternatives de tourisme ont le vent en poupe depuis quelques années. Et pour ceux qui s’en réclament, divers labels leur permettent de prouver leur engagement. Mais qu’apportent vraiment ces différents « sésames » ? ATR a mis en place une charte éthique du voyageur avec de nombreuses recommandations, allant du respect des coutumes locales au tri des déchets. Le label ATR impose également une attention particulière aux fournisseurs sur place. Une convention de partenariat est requise, ainsi qu’un échange régulier sur les bonnes pratiques sociales et environnementales que les prestataires pourraient adopter. Si les critères étaient au départ surtout sociaux, la composante environnementale a pris plus de poids depuis 2015. Désormais les opérateurs labellisés doivent faire un bilan carbone et compenser les émissions de CO2 liées au fonctionnement de leur entreprise.
L’interview de Saskia COUSIN, anthropologue du tourisme, revient aussi sur les bouleversements provoqués par le COVID-19 et l’importance de penser et mettre en place un “autre” tourisme.
L’alternative est simple : il y a d’une part ceux qui rompent avec l’économie marchande, comme par exemple le réseau de l’Association pour le Tourisme Equitable et Solidaire (ATES), qui fait voyager environ 3000 personnes par an ; et d’autre part ceux qui introduisent des normes dans les agences traditionnelles comme le réseau Agir pour un Tourisme Responsable (ATR) qui concerne beaucoup plus de voyageurs
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