Acte 2 de l’année internationale du tourisme durable pour le développement.
Les Nations Unies ont déclaré 2017 année internationale du tourisme durable pour le développement. En France, les professionnels se réunissent pour associer le plus grand nombre de voyageurs à ce mouvement pour un tourisme respectueux de la planète et de ses habitants.
Le premier semestre a été marqué par le lancement de la saison 1 d’une websérie pour changer l’image du tourisme durable et la célébration de la journée mondiale pour un tourisme responsable le 2 juin.
A noter également en janvier le lancement l’année internationale durable pour le développement en France, et en mars la publication des résultats de l’enquête menée par ATR sur « le tourisme responsable vu par les voyageurs », et le village du tourisme durable sur le Salon Mondial du Tourisme de Paris, et en juin la première d’une série de formations dédiées au tourisme durable pour les professionnels.
Le second semestre va être marqué par la première édition des palmes du tourisme durable et l’intégration de nouveaux membres, opérateurs de voyages au sein de l’association Agir pour un Tourisme Responsable (ATR) qui labellise les tours opérateurs engagés dans le développement durable (23 membres dont 7 labellisés à ce jour), mais aussi de l’association interprofessionnelle des Acteurs du Tourisme Durable (ATD) qui fédère tout les types d’organisations : offices de tourisme, hôtels, réceptifs, bureaux d’études, médias, écoles, collectivités locales, etc. (plus de 100 membres à ce jour). Une association qui lance d’ailleurs cet été une campagne de crowdfunding « The is no planet B ».
A noter également en septembre le village du tourisme durable sur le salon IFTM Top Résa à Paris, en octobre la 3e édition des universités du tourisme durable à Clermont Ferrand et en décembre la signature par ATR et le SETO du code mondial d’éthique du tourisme, un texte en passe de devenir une convention internationale, engageant à agir les Etats membres de l’Organisation Mondiale du Tourisme (OMT) en cette période de croissance ininterrompue des arrivées de touristes internationaux, lesquelles ont atteint le niveau record de 1,2 milliard en 2016, soit deux fois plus qu’en 1999, année de l’adoption du Code mondial d’éthique.